Furiosa : Une saga Mad Max

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Bande-annonce 10

Résumés(1)

Dans un monde en déclin, la jeune Furiosa est arrachée à la Terre Verte et capturée par une horde de motards dirigée par le redoutable Dementus. Alors qu’elle tente de survivre à la Désolation, à Immortan Joe et de retrouver le chemin de chez elle, Furiosa n’a qu’une seule obsession : la vengeance. (Warner Bros. FR)

Vidéo (7)

Bande-annonce 10

Critiques (13)

POMO 

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français L’histoire de Furiosa et de sa vengeance annoncée, associée à un aperçu plus complet de la Citadelle, est plus riche sur le plan dramaturgique que la course-poursuite sans fin de Fury Road. Pourtant, le film n’est guère émouvant, même dans ses scènes les plus violentes ou dans ses allusions aux sentiments. Et surtout, il n’y a pas Tom Hardy. Mais le personnage de Furiosa, qui a été façonnée dès l’enfance par la violence, l’inhumanité et la laideur, constitue une force motrice suffisamment puissante, la dynamique du film est incroyable dès la première scène, et les masques et costumes insensés, ainsi que les éléments visuels et les détails qu’ils contiennent, sont absolument stupéfiants. Un sommet cinématographique en matière de scénographie et de création d’un monde fantastique original. J’ai cependant eu du mal à croire complètement à Chris Hemsworth dans le rôle du méchant fou. ()

Goldbeater 

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français This is my kind of revenge movie! Tout le monde appréhendait ce qui allait en sortir, mais George Miller a une fois de plus tenu ses promesses et nous a même réservé quelques surprises en plus. Bien que la création de prequels, dont nous connaissons déjà la fin, puisse sembler inutile et peu attrayante pour le public, Furiosa sera à coup sûr l'un des rares exemples de comment faire la chose de la façon idéale. Son histoire fonctionne parfaitement d'elle-même, il diffère assez de son prédécesseur, l'action est exceptionnellement imaginative et chorégraphiée et le worldbuilding est encore une fois vaste et unique. On découvre le fonctionnement du monde postapocalyptique, la division des différentes factions, la logistique de leur collaboration. Le film donne l'impression d'avoir derrière lui tout un backstory invisible de tout et de tous, ce qui manque totalement à de nombreux blockbusters « superficiels » actuels. J'espère vraiment qu'il fera un carton au box-office, je serais très triste de voir cette série disparaître au Valhalla. Miller en a toujours dans le ventre ! ()

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Filmmaniak 

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français Mad Max : Fury Road était un chef-d'œuvre du genre d'action et était tellement intense qu'il n'était même plus possible d'offrir plus de la même chose. Fury Road est donc un retour dans le monde désertique familier où l'eau, l'essence et les munitions ont plus de valeur que les vies humaines, mais il suit sa propre voie, narrativement c'est un film assez différent. Cependant, il pénètre presque aussi intensément sous la peau et une action époustouflante parfaite aura également lieu, seulement cette fois-ci ce n'est pas le centre de tout et l'attention se concentre pour une fois sur les personnages. Les acteurs sont formidables, les idées scénaristiques et de mise en scène sont toujours abondantes. George Miller sert à nouveau un spectacle d'action grandiose, énergique, sans compromis et amusant d'une manière que l'on pourrait attendre plutôt de réalisateurs beaucoup plus jeunes. ()

Lima 

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anglais Mad Max is an Australian cultural treasure that should have only stayed at three or four episodes. For the first hour, it felt like a sequence of mini-stories, with the disgustingly overacting Chris Hemsworth twitching like a pigeon eating grain and his performance actually making it into a kind of interlocking semi-comedy sketches that I really don't want to see in the Mad Max saga. He was the weakest link in the film. The other one was the overuse of obvious green-screen and over-stylized colors. Back then, years ago, with the first two episodes, I admired the punk spirit that came out of them. A punkness that was related to the low budget, when everything was handmade, so to speak, when the wastelanders were played by real bikers, the cops by real cops, the props were invented in the breaks during filming, and it exuded a wildness and realness that George Miller partially revived in the equally wild Fury Road. This is rather closer Thunderdome, which was also over-stylized and implausible in its depiction of the post-apocalyptic world. I didn't believe it. Mad Max doesn't benefit from a swollen budget because then Miller can't keep it up and in trying to cram in as much as possible, it's like that dog and cat fairy tale where they cooked a cake with so many ingredients that it made them puke (the quarry scene is too over the top). As time goes on, you find that you don't really care much about Furiosa's fate because, unlike Mel Gibson, she's not a pivotal defining character for you, you don't experience it with her, and you pray all the while that there's as little Hemsworth as possible. In fact, the only thing worth singling out is the ten-minute attack on the tanker, because you can feel the punk genuineness of it, where the stuntmen have honestly worked their magic along with those who came up with the choreography. And that's not enough for me, George. Too little. ()

MrHlad 

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anglais Furiosa was still a child when she was taken from her home. She grew up surrounded by violence and madness, but she never stopped wanting revenge. In the wasteland, a war is brewing between two armies of brutal dictators, and Furiosa intends to be on the front lines. George Miller returns to a harsh post-apocalyptic world, but in a slightly different way than you might expect. There's still plenty of action, and there are so many ideas in a single scene that other Hollywood blockbusters could live off of it for years. However, this time around there are more complex characters and, above all, a greater effort to immerse yourself in a world full of chaos and discover that it too has its own order. Miller delivers another one of his visually lavish and uncompromising visions, and he knows he can afford not to pander to audiences who expect nothing more than more of what they got last time. ()

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