Viens voir papa

  • Canada Come to Daddy (plus)
Bande-annonce 1

Résumés(1)

Norval Greenwood (Elijah Wood) débarque dans la maison isolée du père qu'il n'a jamais connu. Une fois là-bas, il découvre que son ivrogne de paternel a un lourd passé secret qui va les rattraper tous les deux. (ESC Distribution)

Critiques (5)

POMO 

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français Après un excellent départ psychologique et mystérieux, avec toutes les cartes soigneusement cachées sous la table, il s'avère être un jeu de tuerie bon marché avec des sympathies mal réparties entre les personnages et des développements stupides de l'intrigue. Et le personnage de loin le plus intéressant et le mieux joué est le premier à abandonner la partie. [Sitges FF] ()

EvilPhoEniX 

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anglais A black-humor journey praised abroad, where Elijah Wood goes to visit a father he's never seen, but everything will be different than he expected. The film quite interestingly creates unexpected twists and turns with a mixture of black humour, and there is a bit of violence, so it's not completely bad, but nothing that would make me fall on my ass either (though a stabbing with a pen dipped in excrement is something I’d never seen). It's good for one viewing and I'm glad Elijah Wood has dedicated himself to horror. 5,5/10. ()

Goldbeater 

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français Come to Daddy démarre comme une histoire à énigme sur les retrouvailles d’un père et d’un fils dont les différences monumentales sautent tout de suite aux yeux. Très vite, il devient évident que le père a un problème ; la tension monte considérablement. Par contre, après le retournement de situation vers la moitié du film, on bifurque vers un genre de petite aventure de pirates pendant laquelle l’ambiance mystérieuse s’évapore partiellement. Cela dit, le final joliment décoiffant est là pour quelque peu rattraper la sauce. Dommage que ce ne soit qu’une mise en bouche, parce que je verrais volontiers un métrage plus long pour les deux comparses que sont Stephen McHattie et Michael Smiley. [Sitges 2019] ()

Filmmaniak 

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français Au début, un drame très dense autour de retrouvailles entre un père et un fils après environ trente ans, partant du principe que ce père est devenu un ivrogne haineux, dont la cabane dans la forêt ne permet pas vraiment le changement. Après un tournant majeur à environ mi-parcours de l'histoire, cela bascule dans un autre genre qui n'a pratiquement aucun lien avec l'intrigue précédente, en plus de se situer étrangement entre un thriller palpitant et une comédie noire excentrique. Sur papier, cela aurait pu sembler intéressant et amusant, mais dans la réalité, cela est insatisfaisant – de nombreux faux pas de mise en scène et de scénario gâchent l'ensemble, sans parler du manque de charisme désespérant du héros principal. ()

kaylin 

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anglais The co-production Come to Daddy shows that horror movies can have an atmosphere that builds slowly from the idea that something evil is lurking in the woods, whether it is paranormal or not. Elijah Wood proves that he is quite good at choosing interesting projects, especially in terms of picking specific movies and movie genres that are intriguing, and that is very true of Come to Daddy. ()