Underwater

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Bande-annonce 3

Résumés(1)

After disaster strikes miles beneath the ocean's surface, a deep-sea research crew faces the monstrous consequences of what their drilling has unleashed. (Netflix)

Vidéo (7)

Bande-annonce 3

Critiques (14)

POMO 

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français Le meilleur élément de film est Kristen Stewart, sans exagération. Cette image inhabituelle lui convient très bien. Et la chanson pop dans le générique final confirme que l'intention principale était d'attirer ses fans. Cela fonctionne assez bien sur le plan atmosphérique, l'implication énergique dans l'intrigue est géniale, mais petit à petit, cela devient fatigant et le piétinement sur place a un effet négatif sur les monstres moyens. Le thème de la menace écologique que représente le forage au fond de l’océan n’est pas un thème complètement nouveau, et il n’y a ici rien de très spécial. On reste dans les clichés habituels. ()

claudel 

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français Défi cinéma en situation de confinement –, actrices préférées : Kristen Stewart – le fabuleux elfe plat, comme aime à l'appeler l'un des personnages du film. Mais pas de problème, pour moi, qu'elle soit maigre ou adopte n'importe quelle coiffure, bigarrée ou hirsute, et peu importe l'extravagance de son apparence, Kristen Stewart n'en reste pas moins diablement sexy. Et bien que l'ensemble pousse plus à la claustrophobie et à la dépression qu'autre chose, je mets deux étoiles juste pour l'actrice, parce que ça me plaît de la regarder et d'écouter sa voix. Par contre, la prochaine fois, je choisirai un meilleur film de son répertoire. ()

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Goldbeater 

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français Bien qu’Underwater soit une compilation de tout ce qu’on a déjà vu se passer au fond des mers dans d’autres films d’horreur (MAL : Mutant aquatique en liberté, Leviathan) ou encore de ce qu’on est habitués à voir dans un décor spatial, ça passe encore si on le prend comme une mise en bouche dans laquelle il se passe constamment quelque chose. Sinon, le scénario tombe probablement dans tous les clichés des histoires similaires (y compris la scène réchauffée sur la destinée de l’un des personnages que je ne vais pas révéler, mais qui m’a rappelé Gravity, Mission to Mars et encore Le Jour d’après) et manque souvent de logique. Et on pourrait facilement se moquer de ces illogismes, mais moi, je me suis plutôt laissé bercer, pour ainsi dire, par la révélation du monstre final qui semble provenir en droite ligne d’un conte écrit par un auteur que je ne citerai pas. Cela dit, il est d’autant plus décevant de réaliser que le film aurait pu être nettement meilleur si certaines parties avaient été plus soignées. En tout cas, l’incapacité des créateurs à laisser le spectateur se recueillir dans l’ambiance sombre de la fin, où on se ramasse en pleine poire le générique accompagné d'une tonitruante chanson pop, a fini de me gâcher l’expérience. L'un dans l'autre, on oscille autour de la moyenne. ()

Lima 

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anglais Kristen Stewart with her deadpan expression is completely out of her depth here as an actress, though the film itself is better than you’d expect from the behind-the-scenes rumors that made the rounds before it premiered. The cinematography is solid and properly gritty – to the point where you tell yourself: hey, this is what it might actually look like after a disaster ten kilometers below the sea. Unfortunately, this level of veracity means that when the protagonists leave the base for the open sea, it’s hard to make anything out in the dark waters; the chaotic editing doesn’t help. The Lovecraftian scares at the end didn’t do it for me either. ()

J*A*S*M 

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anglais If there was a glut of underwater monster horror films in the cinemas, I may have complained that Underwater has poorly drawn characters, that the space and the action are sometimes hard to navigate, and that it doesn’t bring anything new to the sub-genre. But given that the last in any way comparable competition is 1989’s Leviathan, I won’t be a douchebag. And it’s also nice to go to watch a horror flick with a sea monster and get an excellently crafted genre film that doesn’t waste time and jumps right into an intensive action, basically the moment the lights in the theatre go out. The money can be seen. Eubank has once again proven that they can manage the visual aspect of filmmaking with panache. In terms of ambition, however, Underwater is probably the most mundane of their filmography, but this is certainly to the benefit of their cause. But for me, the main plus are the best designed monsters far and wide. ()

Photos (21)