Résumés(1)

To live in Barbie Land is to be a perfect being in a perfect place. Unless you have a full-on existential crisis. Or you’re a Ken. (Warner Bros. UK)

Vidéo (7)

Bande-annonce 9

Critiques (11)

POMO 

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français L’exploration du monde réel par les personnages issus du monde de Barbie est intéressante, originale et laisse augurer d’une satire intelligente, fraîche et inédite des pseudo-problèmes de la société (occidentale) contemporaine. Mais le « conflit des sexes » qui s’ensuit et la solution puérile à laquelle le film a recours gâchent tout le potentiel de ce qui précède. Dommage. Même l’équilibre entre un divertissement pour enfants et pour adultes ne fonctionne pas : il ne s’agit pas du tout ici d’un film pour enfants. Mais réjouissons-nous qu’après la pandémie, le public revienne en nombre dans les salles de cinéma. Pour cela, on peut remercier Barbie. Et bravo à l’auteur de l’idée marketing géniale du « Barbenheimer », même si l’équipe qui travaille dur autour de Tom Cruise ne méritait pas que M:I-7 s’en trouve ainsi éclipsé. ()

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claudel 

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français 1er visionnage : Barbie correspondait à mon humeur du jour, même si n'importe quoi aurait fait l'affaire pour me changer les idées. Je ne savais pas à quoi m'attendre et, comme beaucoup, j'imaginais autre chose. Le film m'a donné l'impression d'une collection d'éléments de qualité qui, une fois assemblés, sonnent faux et ne fonctionnent pas. Le mélange des genres et les changements de rythme fréquents n'ont décidément pas aidé. Margot Robbie et Ryan Gosling ont fait un sans faute et ont joué superbement. Par contre, je ne peux pas associer Greta Gerwig à Barbie aussi facilement qu'à Lady Bird, que j'ai beaucoup aimé. Comme l'écrit le magazine Reflex, espérons au moins qu'Hollywood nous sauvera – par contre, le coup marketing « Barbenheimmer » me plaît beaucoup. Et je me demande si le souvenir de Barbie restera à jamais associé dans ma mémoire au fait que j'avais les jambes de la charmante Veronica Biasiol à hauteur du regard, laquelle était assise sur les marches à côté de mon siège lors de l'avant-première... 2e visionnage : Je n'avais certainement pas l'intention de revoir Barbie, mais ma fille de six ans a insisté, malgré mes arguments rationnels lui expliquant que ce film n'était pas vraiment destiné aux fillettes de six ans. J'ai fini par me laisser convaincre et, maman ne voulant pas y aller, c'est papa qui s'y est collé. Mais pour finir, je ne regrette pas. Les éléments qui ne fonctionnaient pas bien ensemble lors du premier visionnage se sont mieux combinés cette fois-ci. J'ai remarqué plus de détails, de références et d'idées que je n'avais pas saisis la première fois. Margot et Ryan étaient encore meilleurs et, de plus, j'avais oublié de mentionner ce cher Michael Cera qui, à travers son rôle très secondaire, aborde la tradition sous un angle original. Je souhaite à Barbie tout le succès du monde, mais il faut aussi que je me penche sur le cas Oppenheimer. ()

J*A*S*M 

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anglais In terms of experience, it’s five stars. It's a riveting, visually stunning, imaginative, fun ride with a fabulous Margot Robbie and an even more fabulous Ryan Gosling. It's a pleasure to see a big-budget film that totally breaks away from the uniform grey that blockbuster Hollywood usually offers today. But the voice of reason complains timidly about the script's underdeveloped supporting (human) characters and the sometimes annoyingly literal feminist cannonade in the final act, when it seems as if they wanted every argument they could think of to be heard. So, four stars. ()

Lima 

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anglais I didn't fall for it. At its very core, Barbie is as shallow and superficial as what it mocks all along. I can totally see the brainstorming sessions between the Mattel and Warner Brothers executives, in roundtables similar to the one Will Ferrell had in the film: "Hey, we need to boost the sales of our rubber dolls, how about we make some seemingly socially critical pulp fiction, wrap it in basic lessons about the workings of the patriarchy and the status of women in society, and just take a little dig at our corporation on the side to make it look self-aware to the naysayers of our product line.... ". Well, what comes out of a corporation making fun of corporatist? Yes, just corporate toothless humor, created on commission, and made to answer to those at the top who pay for it. PS: I'll slap two stars, for the opening (really funny) reminiscence of A Space Odyssey and then for the brief scene where Margot tells a naturally aged woman that she's beautiful. That's what the Botox princesses, led by Nicole Kidman, should be playing in a loop to light up their barbie heads. ()

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