Avatar : La voie de l'eau

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Bande-annonce 16

Résumés(1)

Se déroulant plus d’une décennie après les événements relatés dans le premier film, Avatar : la voie de l'eau raconte l'histoire des membres de la famille Sully (Jake, Neytiri et leurs enfants), les épreuves auxquelles ils sont confrontés, les chemins qu’ils doivent emprunter pour se protéger les uns les autres, les batailles qu’ils doivent mener pour rester en vie et les tragédies qu'ils endurent. (MK2)

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Bande-annonce 16

Critiques (12)

Goldbeater 

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français Je me disais que s’il y avait des piranhas volants, j’en aurais pour mon argent. J’ai eu droit à des brochets volants, d’où une relative satisfaction. Juste après la projection, des remarques sarcastiques sur le film m'ont traversé l'esprit, genre « l’économiseur d'écran le plus cher de tous les temps », mais ce serait faire injure à Cameron. Ce second Avatar est un grand spectacle visuel, incroyablement convaincant par sa beauté et son design, qui doit être vu au cinéma. La 3D fonctionne. En gros, le côté technique du film répond aux attentes qui se sont accumulées pendant 13 ans. Ce qui ne répond pas aux attentes, par contre, c'est le scénario, qui est l’aspect le plus faible du film. Il est prévisible, sans finesse et construit sur l’eau, au sens propre comme au sens figuré. Il repose constamment sur les maladresses des personnages, lesquels se comportent çà et là de manière irresponsable pour que l'intrigue aille quelque part. Parfois, on va jusqu’à l’absurde. Certains personnages sont enlevés et libérés tellement de fois d’affilée que l'un d'eux se voit finalement contraint par le scénario à commenter la chose. Et du non-sens, il n’y en a pas qu’un peu. En d'autres termes, le second Avatar fonctionne bien comme « expérience », mais nettement moins bien en tant que « film ». Je suis prêt à fermer les yeux cette fois-ci, mais si Cameron ne fait pas un effort la prochaine fois en matière de scénario, s’il ne nous apporte aucune surprise, je risque d’être moins clément. ()

POMO 

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français Avatar : La Voie de l’eau a le scénario d’une série télévisée médiocre qui ne va nulle part. Non seulement l’histoire peut à nouveau être résumée en une seule phrase courte, mais c’est la même que la dernière fois et il semble que la prochaine ne sera pas différente. Le mouvement artificiel des lézards bleus sur la terre ferme n’a pas changé depuis « l’épisode pilote », si bien que la première moitié du film ressemble à une démo de jeu vidéo. En revanche, le passage au monde sous-marin est une grande amélioration. Les lézards nagent beaucoup plus élégamment qu’ils ne marchent et ne sautent, et James Cameron insuffle une vie sans précédent à la faune et à la flore sous-marine imaginaire. C’est magnifique et enchanteur. Luc Besson sera ravi. Les personnages humains ont également de l’espace sur l’eau, ce qui donne à l’artifice numérique un dynamisme plus physique. Tous ces sous-marins, ces mecha-crabes et ces terribles scènes de « chasse à la baleine » sont super cool et rappelleront aux spectateurs les plaisirs enfantins des scènes d’action de Waterworld. Mais dans l’ensemble, le phénomène Avatar tient plus de l’attraction de parc de loisirs (avec une promesse d’un futur en réalité virtuelle) que du chef-d’œuvre cinématographique au sens propre du terme. Ce serait un peu comme un film de Marvel à la Cameron, avec un développement de personnages indigent. Ce qui est un peu dommage. ()

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claudel 

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français Visuellement, le film est très réussi, il n'y a pas de doute là-dessus, et c'est évidemment une expérience agréable au cinéma. Cependant, pour quelqu'un qui apprécie l'intrigue, l'histoire et les rebondissements comme moi, trois heures peuvent être éprouvantes. Ici, c’est simpliste, stupide, répétitif, sans aucune innovation ou créativité. Il aurait été préférable de réduire la durée de moitié, de restreindre certaines scènes du monde sous-marin et de créer une histoire au moins un peu intéressante. Je ne sais combien de fois ma tête est tombée de fatigue… ()

MrHlad 

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anglais James Cameron once again shows Hollywood who is the king of blockbuster movies. Despite its three-hour running time, Avatar 2 is entertaining from beginning to end, with breathtaking audiovisual and personal stories of old and new heroes at the ideal pace. Pandora is perhaps even more beautiful than last time, the newcomers are likeable, and Cameron keeps the pace from start to finish without a single flinch. And after thirteen years, he shows that he's still a long way ahead of most Hollywood filmmakers. ()

Matty 

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anglais I like how every plot shift is tied to familial relationships (as family comprises the whole ecosystem of Pandora in this case), how the film works superbly with parallels (between the characters’ relationships and the past and present – the villain goes through the same initiation as Jake in the first film, but with a different result) and how divine the water and underwater CGI looks, and I’m not offended by the simple eco-friendly plot about finding a home and saving one’s family through a connection to an ancestral heritage, but Cameron is far too enamoured with his moon/planet and his singing whales, and he revels in both of these aspects far more than is necessary for the narrative. You can imagine the middle part of the film, which is followed by the comparatively interminable final act, as a sequel to My Octopus Teacher, with big fish instead of octopuses (which I don't mean as a compliment). Whereas the first Avatar flew by quickly and, due to its focus on building a fictional world and evoking fear for its fate, you weren’t bothered by the two-dimensional characters communicating through poorly written dialogue, here I felt every minute passing by, missing the mark emotionally by several nautical miles, because when the going gets tough, you will probably have trouble even remembering the name of the character whose life is at stake. At least the protagonist’s sons are similar to each other and interchangeable in terms of character. An unbearably long three hours. P.S. Some of the action scenes in 3D and 48fps look like cut scenes from a highly advanced video game (which is not a compliment either) and the non-action scenes are reminiscent of a soap opera. 60% ()

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