Suicide Squad

  • États-Unis Suicide Squad (plus)
Bande-annonce 3
États-Unis, 2016, 123 min (Coupe du réalisateur : 134 min, alternative 111 min)

Résumés(1)

A secret government agency recruits imprisoned supervillains to execute dangerous black ops missions in exchange for clemency. (texte officiel du distributeur)

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Bande-annonce 3

Critiques (21)

POMO 

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français Cool bande de mauvais garçons, qui se démarquent par leur style et leurs grimaces, mais "l'histoire" ne leur donne pas la possibilité de se développer ou d'apporter quelque chose. Surtout avec les efforts de Jared Leto, dont le Joker n'est qu'un personnage secondaire emblématique, c'est décevant. Les répliques humoristiques, censées être l'épice principale du film, sont également rares. Le charme de Margot Robbie et les chansons du générique restent les moments forts de Suicide Squad. Lors du premier visionnage, ils enchantent littéralement. Mais lors du deuxième, lorsque le spectateur regarde plus en profondeur derrière la façade du film, ils se révèlent être la seule chose qui le retient à flot. ()

Goldbeater 

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français David Ayer avait promis de souffler un vent nouveau sur les adaptations cinématographiques de BD du studio DC. Eh bien, il n’en est rien ! C’est plutôt de gâchis qu’il faudrait parler – et encore, c’est peu dire ! Après le succès commercial de Deadpool qui était classé R, on peut se demander comment Suicide Squad se retrouve, lui, classé PG-13. Le fait de l’avoir artificiellement greffé sur Justice League est vraiment désolant et on pourrait écrire tout un livre sur la stupidité du scénario. Mais mon principal reproche est la conception ratée des personnages. Au lieu des bad guys ténébreux qu’on nous avait promis, on se retrouve avec un ensemble typique de héros aux grands cœurs ; aucun d’eux n’est un modèle de vertu, mais ils n’ont rien d’antihéros pour autant. Le scénario tente très maladroitement de cacher cet état de fait en mettant dans la bouche des personnages centraux des phrases du type « N’oubliez pas qu’on est les méchants ! » ou « Cette femme est vraiment diabolique ! », pour rappeler au public ce qu’il est censé penser. Pour finir, quelques mots sur la distribution : Cara Delevingne est désastreuse dans le rôle de l’Enchanteresse (pour sa défense, le personnage de l’Enchanteresse est affreusement conçu dans son ensemble et Cara ne fait que lui mettre le coup de grâce par ses créations). Mais la pire erreur de casting, c’est Jared Leto dans le rôle du Joker. Il est quasiment imbuvable. Ayer ferait bien de se remettre au drame policier ; ce qu’il a fait ici m’a totalement mis en rogne ! ()

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claudel 

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français Ça démarre sur les chapeaux de roue, puis le scénario s'égare dans une direction stupide et, enfin, on se rattrape avec un final correct. Essentiellement, le film est accaparé par Margot Robbie et Jared Leto – du grand spectacle. Reprendre le rôle du Joker après Heath était un fameux défi et, à cinq heures et demie du matin, je ne trouve pas les mots pour qualifier ce défi. Lui, en tout cas, a sacrément bien réussi son coup et, avec Margot, a formé le duo déjanté par excellence. Les autres membres du clan sont cools eux aussi et la BO est vraiment nickel. Dans l’ensemble, je mettrais trois étoiles et demie, mais je vais arrondir vers le haut pour Margot et Jared. ()

Matty 

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anglais I can’t say that a witch out of a 1980s fantasy B-movie is what I've been missing from current comic-book flicks. In fact, she is a completely interchangeable DC villain who wants to destroy the world simply because she can. Not even the (unintended) creation of the evil Enchantress by those who are supposed to protect the world is innovative by today’s standards (which immediately gives away the point of the film, which is that working with villains can backfire on you). Most of the film’s other elements are also interchangeable, as Ayer mixes them together willy-nilly, albeit with a certain sense of rhythm. The first hour comes across as a condensed recapitulation of a ten-part series – all exposition, no development. In terms of time and space, the second hour is a slightly more cohesive super-villain variation on war movies in the mould of The Dirty Dozen and westerns like The Wild Bunch (including fatalistic dialogue before the final conflict, but without any significant development of the relationships between the characters or their ability to work together). Though the prologue indicates that Deadshot and Harley will be the protagonists of the narrative, their private dramas (their relationship to the daughter/Joker) do not drive the narrative, but rather slow it down, as they have minimal impact on the direction of the plot. The Joker, who looks like a goth who’s off his meds and inspires more sympathy than unease, always just shows up, does a little damage and disappears, like the returning bosses in some computer games, which seemed to be a source of inspiration for Ayer when he was slapping the plot together on the fly (or at least it seems so). Nothing would change if the Joker wasn’t here. The whole film is still needless and half-assed and unpolished, and while it manages to get and hold your attention with its witty characters, driving soundtrack and slightly psychedelic visual stylisation, the end result is merely two hours of loud, colourful distractions without any serious points of interest. 55% ()

Isherwood 

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anglais The DC Universe hasn't even had time to be born and it's already dead. The dramaturgically-incompatible group at Warner Brothers craves a more discerning audience, but with their results, they're looking at a target audience of 13-17, who (given the earnings) probably won't care that the plot makes no sense at all, that the team doesn't work as a team even once, and that the ass-kicking isn't a highlight for which to praise a character. I want to go to the alternate universe where Ayer made it in his own way, and it’s one hour longer and does away with the moronic humor. In many of its details (the clear action, a decent portion of darkness and suspense) it looks like a prelude to a major comic book film, but someone in the editing room screwed it up in an absolutely monstrous way. The most interesting character in the finale is Killer Croc. I want him to have a solo movie. ()

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