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Critiques (1 027)

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Aguirre, la colère de Dieu (1972) 

français Aguirre, la colère de Dieu et la folie d’un homme. Une création parfaite qui m’a immédiatement fait apprécier la collaboration entre Werner Herzog et Klaus Kinski. Tous deux ont fait un sans-faute et si vous n'êtes pas d’accord, vous serez découpé(e) en 198 morceaux et piétiné(e) jusqu’à devenir de la peinture pour les murs !

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Doblba! (2005) 

français Incohérent, bizarrement écrit, pénible par moment et, malheureusement, totalement dépourvu d’humour. Quant à Čtvrtníček, on l'aime bien, mais on ne le voit pas beaucoup. Doblba!est un film que je ne regarderai pas – contrairement à la signification de son titre – encore et encore !

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The Rover (2014) 

français Selon Quentin Tarantino, ce serait le meilleur film post-apocalyptique depuis le Mad Max original. En ce qui me concerne, je tire mon chapeau à David Michôd pour avoir réussi à sortir un 100 % concentré d’ennui de première qualité ! The Rover ne ressemble à rien ; c’est une chose infatuée dans laquelle on espère, en vain, trouver quelque rebondissement, tout en pensant à regret aux bons moments de Mad Max. L'ensemble est sauvé de justesse par la scène finale, qui estcohérente. Mais Quentin, la prochainefois, abstiens-toi !

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Lída Baarová (2016) 

français Une question que Filip Renč devrait se poser, c’est comment il a sérieusement pu nous pondreça. Quant au public, il est en droit de se demander si soutenir cette bouse en allant la voir en salle est bien raisonnable. La scène avec les visages dans les flammes illustre parfaitement la direction dans laquelle le cinématchèque se dirige. Terrible.

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Le Solitaire (1981) 

français C’est l’histoire d’un criminel méthodique incarné par l’excellent James Caan – un personnage que vous préféreriez ne pas trouver sur votre route ! Le Solitaire illustre à merveille à quel point Michael Mann maîtrise l’imagerie onirique. Il s’agit d’un début phénoménal comme réalisateur. Pour ne rien gâcher, la bande-son contient la remarquable musique de Tangerine Dream ! Je recommande vivement la version du réalisateur, dans laquelle on trouve encore plus de gâteries audiovisuelles. Un film qui mériterait plus d’attention !

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Carnage (1981) 

français Avec Vendredi 13 et Massacre au camp d'été, ce film pourrait compléter la trilogie imaginaire des meilleurs camp slashers des années 80. Bien qu’il puise pas mal d’idées dans les films cités plus haut – le premier en particulier –, Carnage emprunte sa propre voie et recèle quelques scènes bien épicées. Très correct.

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Happy Birthday - Souhaitez ne jamais être invité (1981) 

français Sur la forme, ce slasher a un niveau correct (et sa piste musicale est excellente), mais il pourrait être un peu plus court. Rien de grave, mais disons que la scène forte qui contient la fête d’anniversaire se fait attendre. Autre chose, la révélation finale du tueur est une escroquerie, le dénouement n’ayant plus vraiment de rapport avec le reste de l’intrigue – à croire que les scénaristes manquaient d’inspiration. En gros, légèrement au-dessus du lot pour ce genre de films.

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Le Corbeau (1963) 

français Un véritable ballet d’acteurs de classiques de l’horreur : le légendaire Vincent Price, le contrariant Peter Lorre, le délicieusement infâme Boris Karloff et un jeune Jack Nicholson. Cela dit, là où Le Corbeau se démarque vraiment, c’est dans son ambiance – une splendide ambiance gothique créée par la musique et des intérieurs sublimes. Roger Corman est peut-être un réalisateur de séries B, mais alors un maître dans le genre ! Et je ne suis pas prêt de me lasser de cette comédie !

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Le Professionnel (1981) 

français Je tire mon chapeau tant à Ennio Morricone qu’à Jean-Paul Belmondo ! Le Professionnel est une aventure pleine de répliques mémorables, d’humour et d’ambiance film-noir.

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Starman (1984) 

français Une histoire captivante sur un extraterrestre naufragé (joué par grand Jeff Bridges) qui veut rentrer chez lui. Un thème maintes fois revisité depuis ? Qu'à cela ne tienne, John Carpenter ayant investi dans Starman son unique talent et style, le film nous prend par les sentiments et se démarque à plus d’une reprise. De plus, la fin est magnifiquement écrite. Un tendre moment de nostalgie.