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Critiques (1 027)

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Metanol (2018) (téléfilm) 

français À une époque où notre offre cinématographique s’est, en ce qui concerne les films tchèques, embourbée d’une façon embarrassante dans la médiocrité, voici ce que nous propose la télévision tchèque. Dieu soit loué – et je m’en vais arroser ça !

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Black Panther (2018) 

français Si Captain America était le premier Avenger, alors Black Panther est le premier Avenger dépourvu de tout charisme.

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Les Maîtresses de Dracula (1960) 

français Faiblard, vraiment faiblard. Ce film ne fait pratiquement que parasiter le succès de l’épisode précédent de la série Dracula. David Peel satisfait dans le rôle du mauvais et fait un bon opposant face à Peter Cushing dans le personnage de Van Helsing. Cependant, le combat final est, en quelque sorte, terminé avant même de commencer, comme s’il se volatilisait sans crier gare. Dommage.

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La Femme guêpe (1959) 

français Un film d’horreur de science-fiction facile et dont le scénario se tient à une logique de base, évitant de déraper vers de folles aberrations ou de déranger. La femme-guêpe du rôle-titre se fait attendre et, quand elle finit par apparaître, son apparence n’est pas des plus impressionnantes. Cela dit, le film à une âme, la musique recyclée de Fred Katz est agréable et, en fin de compte, l’impression générale suffit à compenser les faibles attentes.

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La Fusée de l'épouvante (1958) 

français Ç’aurait pu être un genre de prédécesseur d’Alien en noir et blanc. Le potentiel y était. Par contre, le scénario est fade et, par moments, si inepte qu’il enfonce le film dans la médiocrité. Quand les personnages ne sont pas en train de débiter des dialogues à la noix, on les voit courir hystériquement dans une fusée de modeste dimension, allumer des grenades et tirer depuis leur arme anti-tanks ; bien qu’ils forment une équipe de scientifiques, ils se comportent impulsivement comme des gamins. Quant au suspense, il est inexistant. Et le costume du martien, qui semble avoir été fortement inspiré par celui de L'Étrange Créature du lac noir, il ne relève pas non plus le niveau général.

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La Dernière Femme sur Terre (1960) 

français Les prémisses du récit – écrites par l’oscarisé Robert Towne – sont simples, mais auraient gagné à être mieux exploitées. Pour comparaison, The Quiet Earth, sur base d’un principe similaire, est allé beaucoup plus loin. Le jeu des acteurs laisse à désirer tout en étant satisfaisant pour une production Corman (le seul fait intéressant étant probablement le rôle du susmentionné Robert Towne). D’un autre côté, il faut reconnaître à ce film son atmosphère postapocalyptique joliment rendue et l’effort sur le message transmis. Je m’attendais à pire et dirais finalement que ce film est dans la moyenne regardable.

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L'Halluciné (1963) 

français Il est amusant de voir ce film d’horreur essayer naïvement d’avoir l’air sérieux. Et le nombre de grands noms qui y sont associés est encore plus amusant. C’est que le la rotation des réalisateurs et l’écriture du scénario au cours du tournage ont laissé des séquelles. L’intrigue est un beau méli-mélo, mais ça ne m’a pas déplu pour autant. Et ce documentaire dans lequel les créateurs évoquent le tournage avec humour en vaut la peine.

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L'Homme cosmique (1959) 

français Oublié à juste titre, ce film de science-fiction constitue une réplique facile du plus réussi Le Jour où la Terre s'arrêta. La seule force de traction du film est, à peu de chose près, John Carradine, qu’on n’apercevra pourtant que quelques minutes à l’écran. À certains moments, les dialogues des autres acteurs sont bêtes à en pleurer. Quant au meilleur effet spécial du film, c’est une sphère en lévitation. Une imitation de deuxième zone.

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It Conquered the World (1956) 

français Aidé par le bienveillant Dr Anderson (Lee Van Cleef dans l’un de ses premiers rôles principaux), un habitant de la planète Vénus (c’est-à-dire un genre de tente avec une expression sanguinaire) met en place un nouvel ordre terrien. Étonnamment, ce n’est pas si mauvais que ce qu’on pourrait penser à première vue. Les acteurs sont supportables, les dialogues ne sont pas aussi patauds que dans les autres films de l’époque. Au moins, les scènes avec Dick Miller et Jonathan Haze allègent l’ambiance par un humour qu’on souhaiterait sur toute la longueur du film. Ça m’a plu et je me demande si je ne devrais pas lui mettre une note plus élevée.

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L'Attaque des crabes géants (1957) 

français Contrairement à la majorité, je ne vais pas dénigrer l’apparence des crabes géants, parce que je les trouve relativement présentables en regard de ce qui se faisait dans les films de l’époque. Là où le bât blesse, c’est au niveau du scénario. D’accord, on ne s’attend pas à quelque chose d’extraordinaire, mais, même en 1957, ces crabes parlants qui ont la faculté d’imiter les voix et de déclencher des tremblements de terre ne devaient pas convaincre même les plus enthousiastes des spectateurs (et c’est sans parler des dialogues). Les films produits par Roger Corman dans les années qui suivirent sont certes tout aussi naïfs, mais nettement plus divertissants.