Don't Look Up : Déni cosmique

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Bande-annonce 5

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Deux astronomes méconnus entreprennent une tournée médiatique pour prévenir l'humanité qu'une comète fonce sur la Terre. Mais cela n'a pas l'air d'inquiéter grand monde. (Netflix)

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Bande-annonce 5

Critiques (15)

POMO 

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français Une comédie hollywoodienne sur la fin du monde nettement meilleure que C'est la fin :-) Non seulement intelligemment écrite, mais aussi intelligemment interprétée. L'utilisation d'Ariana Grande et de sa chanson est excellente. Les scènes de diffusion en direct sont les plus satiriques à mon avis. Un autre rôle intéressant pour Mark Rylance. La dernière réplique de DiCaprio n'est peut-être pas originale, mais elle est précise et conforme à ma conviction. Et c'est exactement cette Cate Blanchett que je veux comme maîtresse. ()

Goldbeater 

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français Je suis l’un des seuls à ne pas du tout avoir adhéré à The Big Short. Vice et son zèle étaient à mon goût et Présentateur vedette: la légende de Ron Burgundy me plaisait en tant que comédie sans prétention. Mais il a fallu attendre aujourd’hui pour que j’aie un véritable déclic par rapport au cinéaste Adam McKay, et cela grâce à Don’t Look Up : Déni cosmique ! Faire une bonne satire n’est pas chose aisée et quelques petits malins en font les frais chaque année, mais ici, ça marche impeccablement. Le film est bien équilibré, tant dans le dosage de gags basiques (certains ne m'ont pas plu, tandis que d'autres m’ont fait rire aux éclats) que dans l'humour satirique intelligent (j'affichais un sourire en coin pendant tout le film) ou encore dans les scènes sérieuses qui donnent à réfléchir (Leonardo DiCaprio s'empare de quelques-unes et fait mouche). À la fin de l'année dernière, Netflix me gâtait avec Mank ; cette année, la plateforme remet le couvert avec ce film-ci, un peu avant le réveillon du Nouvel An, ce qui semble avoir lancé une nouvelle tradition. P.S. Le fait que cette œuvre rafraîchissante ait actuellement une note de 55 % sur un agrégateur web que l’on ne nommera pas (soit moins que l’horrible Venom : Let There Be Carnage sorti cette année), là où la friandise foraine Spider-Man: No Way Home hérite d’un 90 % et le ramasse-Oscars The Power of the Dog un étonnant 95 %, montre une fois de plus que j’ai affaire à un dépotoir plein d’hypocrisie qui n’a rien d’une source d’avis pertinents et que je devrais totalement arrêter de me baser dessus. ()

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claudel 

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français Quand quelqu’un se moque des Américains, c’est toujours pour me plaire. Et quand ils le font eux-mêmes, respect ! Si seulement la durée se limitait à quatre-vingt-dix minutes, j’applaudirais. Malheureusement, la deuxième moitié détruit tout ce qu’il y avait de bon dans la première et on s’ennuie presque à en mourir. Le personnage le plus drôle et le mieux joué est celui de Jonah Hill (qui sait s’il ne sera pas devenu aussi mince qu’un fil de fer dans cinq ans !), le plus pathétique et dérangeant, celui de Mark Rylance, et le plus insignifiant, celui de Timothée Chalamet. ()

Lima 

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anglais It's easy to see why Leonardo DiCaprio, an environmental activist who chooses his films carefully, gave his nod to this one – substitute a deadly comet for current and worsening climate change in the coming years and you get the picture. On the one hand his character, Dr Randall Mindy, and on the other – in real life – deniers like Klaus, Trump and similar idiots who, despite clear scientific and factual evidence, deny the human effect on climate change, just as McKay's film shows. And the people who, just like in this story, generally don't give a shit, they'd rather superficially like an article about how some pseudo-celebrity broke up with her boyfriend and completely ignore something that will be in a few years, or is slowly coming, because celebrities and other such superficialities in commercial media (and now, unfortunately, in public media as well), which focus primarily on entertainment, are pulling their weight these days. You can't be surprised, then, that Ariana Grande's breakup is hilariously taking precedence on TV over information about impending danger from outer space. Unfortunately, after an energetic first half, when McKay, in addition to the aforementioned, aptly addresses the unfortunate influence of social networks, the superficial and short-term thinking of politicians and the herd mentality of the population, the film loses its grip and its momentum and reaches the end at an idle. It just goes from a biting satire to an overly activist thing with no insight. But overall, the 4 stars are well deserved for the message that we're sitting on a barrel of dynamite while laughing like idiots. ()

J*A*S*M 

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anglais The worst thing is that in a world where populists rule politically, where even infotainment is no longer enough for the media but pure entertainment, where much of the real power is held by unaccountable tech giants headed by eccentric megalomaniac billionaires, where social media trends set the agenda, where likable bullshit carries more weight than fact-based opinion, a doom-comet could very well end up exactly like this. Scary, true, and funny at the same time. ()

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