The Gore Gore Girls

Une lettre d'amour d'Herschell aux stripteaseuses et détectives retors. Son guide est l'inspecteur américain Clouseau, les yeux des strip-teaseuses sont arrachés, leurs tétons coupés et leurs visages bouillis dans une friteuse avec des frites. Les strip-teaseuses ont probablement également encadré et mis au point les prises de vue, et ont effectué le montage final, pendant que HerscHELL s'enivrait lascivement de leur… créativité artistique. Un trashsploitation légèrement amusant pour les endurcis. Et les patients. (17/10/2021)

Oui, Hershell Gordon Lewis a réalisé un film trash au possible, où le gore gratuit et la nudité autotélique sont les stars, loin devant l’exécution technique, l’intrigue criminelle et le pseudo-humour. Mais le spectacle a un tel cachet de série B sans aucun autre artifice, qu’on a presque envie de s’en extasier. Bref, ce film a du « cœur » et peut se targuer d’avoir le concept de meurtre le plus étrange que j’ai vu dans le cinéma d’épouvante depuis des années ! (05/11/2021)

A cynical private eye and a sexy journalist uncover the background to the brutal murders of young strippers, which may be the result of a Catholic feminist conspiracy. It only hints a being a horror film, although the gore is truly impressive, and especially the butt hammering or face ironing is still impactful years later. Yet it's much more of a detective story that desperately doesn't know whether to reference or parody the noir school. The protagonist is brimming with cynicism, but he misses the mark due to the inflexibility of the rest of the characters. The entire film thus has to deal with a terrible inter-genre battle that ends in a tie. However, if you think of it as a B-movie, you'll have a lot of fun with it. (27/08/2007)