Jurassic World : Le monde d'après

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Bande-annonce 2

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Quatre ans après la destruction de Isla Nublar. Les dinosaures font désormais partie du quotidien de l’humanité entière. Un équilibre fragile qui va remettre en question la domination de l’espèce humaine maintenant qu’elle doit partager son espace avec les créatures les plus féroces que l’histoire ait jamais connues. (Universal International FR)

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Bande-annonce 2

Critiques (11)

Goldbeater 

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français Fallen Kingdom m’avait fait sortir du cinéma furax ; ce volet-ci m’a amené à la résignation. La promesse de ravages dinosauriens commis sur le monde civilisé n’a pratiquement pas été tenue, car, à l’exception de quelques scènes, l’histoire se déroule à nouveau dans une réserve fermée où les choses tournent mal, mais les dinosaures n’interviennent presque pas dans l’intrigue. Le Monde d’après repose entièrement sur un patchwork d’intrigues secondaires inintéressantes, sur une action qui semble découler du plus pur des hasards, sur des motivations de personnages totalement fortuites, sur un constant déni des lois de la physique, un fan service miteux et dérangeant et, pour ne rien arranger, un montage saugrenu à travers lequel les personnages sont artificiellement avantagés face aux lézards ultrarapides. Mais le comble, c’est les mains magiques de Chris Pratt qui ont le pouvoir de stopper n’importe quelle attaque de dinosaures à n’importe quel moment – comme par magie ! Et comment ne pas se lasser et s’offusquer quand les acteurs (et les dinosaures) eux-mêmes semblent lassés et offusqués ? Objectivement, ça vaut une étoile. Subjectivement, je me suis laissé quelque peu bercer par le retour de vieilles stars, parmi lesquelles Jeff Goldblum qui se démarque avec sa façon de commenter les débilités qui se déroulent dans le film. Peut-être qu’avec le temps et les oreilles massées par ses belles paroles, je pousserai jusqu’à deux étoiles… Mais que dire, à part que cette franchise, autrefois majestueuse et envoûtante, est tombée au fond du panier et qu’il n’en reste à peu près rien d’autre qu’une machine à faire du pognon ? Et s’il fallait réunir un jour le casting du Jurassic Park original, il faudrait que ce soit dans un meilleur film ! ()

POMO 

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français Le retour des personnages principaux du premier Jurassic Park fait plaisir, ce sont toujours ces sympathiques scientifiques enthousiastes qui aiment les dinosaures. Impliquer le spectateur dans un monde où les dinosaures sont partie intégrante est cool. Le repaire de contrebandiers sur l'île Malte et l'action prolongée là-bas donnent au film un bon coup de pied. La course-poursuite sur les toits et à moto à travers les rues, exactement comme nous les connaissons dans les « Bourne » et les « Bond », améliorée avec des vélociraptors… pourquoi pas ! Mais pour le reste, nous sommes simplement déplacés dans une réserve différente de celle du premier film, recyclage de ce qui a déjà été vu, de plus avec une réalisation peu excitante, un Tim Cook inopérant en tant que méchant, des astuces logiques et des absurdités indignes de cette série de films. Et une seule scène fantastiquement filmée qui rappelle Spielberg (l'immersion dans le lac). Malheureusement, c'est court. Le volet le plus faible de toute la série. ()

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Marigold 

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anglais A totally unworkable plot of repetitive action scenes that jumps like a flea only to finally retell what has been told several times before, but in a much more clumsy and emotionless way. The screenplay is a disaster, the direction of the action scenes follows the Bourne Bond axis, but it is not very skilled at that either. In the end, it's a mix of cluttered dinosaur MMA and Sir Attenborough having a severe stroke. ()

EvilPhoEniX 

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anglais The conclusion of the dinosaur trilogy will be a commercial success. Disappointment prevails among the critics, but I am satisfied. For my money, it's certainly more entertaining and engaging than the sequel, which as is usual with sequels that are just filler for the finale. The first hour impresses in the form of news, where the dinosaurs get to our civilization and their way of living with us, this entertained me a lot. The plot then moves to Malta, where the film incidentally climaxes with a half hour action dinosaur romp, quite possibly the best dinosaur action sequence ever, though it is all too similar to Bond or MI, but a motherfucking ride nonetheless. The finale is about 40 minutes long and it's properly spectacular, there's a horror atmosphere conjured up in places (the mutant locusts are great), there are plenty of genetically modified dinosaurs which I welcomed, the central little girl isn't annoying, the nostalgia and emotion works, and, most importantly, it reminded me of my favourite PS1 game “Dino Crisis 2” in the locations, the action and the detail, which I ran through about 15 times as a kid and I take it as a tribute. A few things could have been done better, but what the hell, it's the only dinosaur franchise that's quality and there's definitely no competition anytime soon. I enjoyed it. Story 3/5. Action 5/5, Humor 3/5, Violence 0/5, Fun 5/5 Music 4/5, Visuals 5/5, Atmosphere 4/5, Suspense 4/5, Emotion 4/5, Actors 3/5. 8/10. ()

Isherwood 

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anglais This is the recycling of the dinosaur movies where all the good has gone down the drain, leaving an unpleasant concentration of what is wrong with the Hollywood factory. The lazy script follows the same pattern for the sixth time, completely ignoring all the possibilities offered by the prehistoric monsters that are spread all over the planet. The joining of the new party with the old one features no surprises or a single spark. The parental theme is boring, and the only really full-blooded character is Kayla Watts (who maybe should have filled the quota, but she's a well-written and well-acted pilot)… Other than that it all goes on forever for two and a half hours. At the end, Ian Malcolm starts to spout a few catchphrases and unbuttons his shirt, and that’s about it. If it wasn't for the dessert in the form of the eaten guy on the electric scooter, which honestly made me laugh for about 5 minutes, I would award it the maximum misery. ()

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