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De nos jours à Mexico. Dani Ramos (Natalia Reyes), 21 ans, travaille sur une chaîne de montage dans une usine automobile. Celle-ci voit sa vie bouleversée quand elle se retrouve soudainement confrontée à 2 inconnus : d’un côté Gabriel (Gabriel Luna), une machine Terminator des plus évoluées, indestructible et protéiforme, un « Rev-9 », venue du futur pour la tuer ; de l’autre Grace (Mackenzie Davis), un super-soldat génétiquement augmenté, envoyée pour la protéger. Embarquées dans une haletante course-poursuite à travers la ville, Dani et Grace ne doivent leur salut qu’à l’intervention de la redoutable Sarah Connor (Linda Hamilton), qui, avec l’aide d’une source mystérieuse, traque les Terminators depuis des décennies. Déterminées à rejoindre cet allié inconnu au Texas, elles se mettent en route, mais le Terminator Rev-9 les poursuit sans relâche, de même que la police, les drones et les patrouilles frontalières… L’enjeu est d’autant plus grand que sauver Dani, c’est sauver l’avenir de l’humanité. (20th Century Fox FR)

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Bande-annonce 5

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Goldbeater 

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français Après avoir vu la bande-annonce, la toute première pensée que j'ai eue par rapport à ce projet était que je n’avais pas vu d’effets numériques aussi lamentables depuis longtemps dans un film hollywoodien et j’espérais que cette impression serait démentie par le film. Malheureusement, ce n’était pas qu’une impression ! Les effets CGI de mauvais goût (même le linge qui pend sur les fils est numérique !) m’ont dérangé dès la première minute et pas une seule scène d’action (ou de non-action) n’a pu me convaincre. Le scénario aurait pu compenser cette faiblesse, mais tous les choix pris par les créateurs de ce film dans les premières minutes m’ont paru cheap et désastreux. D’un côté, le retour du producteur James Cameron et de l’actrice Linda Hamilton – comme pour afficher un respect pour les deux premiers films – était alléchant, sauf que, dès les premières minutes, la connexion au Jugement dernier laisse place à un tel déchet que c’en est tout bonnement enrageant. Et vous vous réjouissiez de revoir Eddie Furlong ? Haha ! Tout ça pour pouvoir recycler, sans créativité, l’action basée sur les fameuses prémisses de T2. Car cette fois-ci, c’est avec de nouveaux personnages insipides et très génériques comme on en a désormais l’habitude avec le fléau des franchises modernes. La première moitié du film (soit le chemin emprunté par les personnages d’un point A à un point B) est un genre de bordel numérique gonflant au possible avec un message incroyablement simpliste style « girl power ». Grâce au retour de Schwarzy dans la deuxième moitié, le tout retrouve un certain éclat et commence à être – Dieu soit loué ! – un tantinet divertissant. Mais ça n’enlève rien au fait que la formule est usée jusqu’à la corde, qu’il n’y a pas la moindre nouvelle idée et que ce n’est qu’une injure aux deux premiers Terminator. Pour moi, c’est le pire WTF de l’année passée et, bien que mes attentes étaient très basses, j’ai malgré tout été déçu. Ce qui me consterne en ce moment, c’est que ce pastiche est globalement bien accepté par le public. ()

POMO 

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français La fusion des anciens personnages connus et des nouveaux est ici imaginée de manière sympathique et les répliques d'Arnold font sourire. Cependant, cela dérange d'autant plus ce film d'action sur-digitalisé et inutilement exagéré (surtout dans l'avion), qui ruine gravement le plaisir bien entamé. Moins aurait été plus, surtout lorsque l'on considère les $100 millions dépensés pour une meilleure animation numérique. Et la nouvelle jeune Terminator, Mackenzie Davis est coriace mais inintéressante et asexuée. ()

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Malarkey 

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anglais I have to say this out loud. This is the Terminator that I remember from my childhood. This is the continuation that I was wishing for after the second movie. Finally this is something that follows at least some logic and where Arnold Schwarzenegger and Linda Hamilton appear and all of that in combination with great action scenes makes sense. Tim Miller was a good choice and I’m glad that James Cameron was able to manage it from the financial aspect as well as the filmmaking one. Even though I wasn’t expecting anything or maybe just anger, at the end my eyes misted. This movie is as good as its upgraded opening song. It uses well-known Terminator motifs that are changed just slightly so that you can feel the nostalgia of the past emanate from it by adding just a few notes that were previously unknown to you. Moreover Arnold shows up less times that you would want but still it is enough for you not to forget him. ()

MrHlad 

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anglais There is one more pleasant surprise this year after all. I wasn't really expecting it from the new Terminator, and it's all the more pleasant. Tim Miller delivers a lot of action (admittedly, a bit too digital at times), but, most importantly, the right Terminator atmosphere. At the same time, he's not afraid to try new things that are more suited to the twenty-first century. Terminator: Dark Fate does feel a lot like the first and second movies, it's more or less one long chase, but Miller doesn't try to cheaply reference the older films and instead fills the screen with a lot of simply great, quality action. And with interesting female leads, too. The main stars of the new Terminator are three ladies who looked god-knows-what in the photos. Fortunately, in the end, they are charismatic and interesting characters that the three leads portray more than well. And Arnold? Arnold is the king! Although a little different than you'd expect. In short, Miller and James Cameron made what fans have wanted to see since the second film, while not being afraid to throw in a few modern trends. If you're fundamentally bothered by women getting more and more space in the male-dominated genre, Dark Fate will convince you that when done well, it's not only okay, it's very good. ()

Lima 

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anglais The T-800 lives with his family in a cabin in the woods, is an expert at ladies' curtains, raises and pets a dog on the porch, and just out of the blue decides (programmed, unprogrammed, it doesn't matter) to do good. In short, Terminator as a soap opera. Add to that the nowadays fashionable girl-power element (a six-foot-tall teenage girl is a leader of the resistance) and the last half-hour of overstuffed digital crap. And there’s not a single action scene with the charge of anything by Cameron. Sadly, the best – and in fact the only good – thing about the whole film is the ageing Linda Hamilton, who, with how poor her career has been for the last 20 years, clearly enjoyed it and had fun. Otherwise, a terrible mess that completely fucks up all the careful mythology outlined by Cameron. And as I look at the four stars here, people have either gone completely insane or they don’t need much to be happy. And by the way, in the cinema, my friend and I were in an empty auditorium all by ourselves, in the evening, in Liberec, a city of 100,000 and four days after the premiere. That, too, says something about the decline of once famous franchises. ()

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