Résumés(1)

Il y a 15 ans à Tromaville, New Jersey, la capitale mondiale du déchet toxique, le petit balayeur Melvin, un gringalet de 45 kilos, se faisait tourmenter, injurier et d’autres vilaines choses, jusqu’à ce qu’il tombe dans un baril de déchets toxiques, ce qui le transforma en une créature affreusement difforme, de taille et de force surhumaines. Melvin devint le Melvin devint le Toxic Avenger, le 1er superhéros du New Jersey. Puis deux suites honteuses furent tournées. Désolés pour ça. Voici la véritable suite… (Bach Films)

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Critiques (2)

DaViD´82 

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anglais Is it a man? Is it a plane? No, it’s Citizen Toxie! The love of our life is back and the whole wide world loves him! A great comeback from the bald guy in red shoes who, using his barnacled charm, protects not just the inhabitants of Tromaville, but mainly his genes, against a cruel bad guy. For he stands before the greatest challenge in his life. To sire a descendent, an heir. And this mutant works hard at it. He is helped considerably in doing it, by feces, gallons of blood, a bare breast or two (thank you for those gifts) and even a dead special kid. Even the Masturbator himself puts his sperm to good work. At least Toxie is never evil or ridiculous fourth time around. He’s just taken enough dolphin sedative to put a regiment to sleep. And that reminds me. I cried at the death of the Dolphin man... with laughter. A toxic waste of huge dimensions that was rather longer than it should have been. This way it loses its punch and you get a little fed up with it. But only a little. And Dolphin man is unnecessarily slow. Which even Josh Levitsky would admit. ()

Goldbeater 

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français Toxie revient après onze ans pour pouvoir à nouveau se frotter à la pègre de Tromaville. Or, cette fois-ci, il se retrouve propulsé par inadvertance dans une dimension parallèle et c’estle méchant Noxiequi prend sa place à Tromaville. Fidèle à la tradition Troma, ce quatrième opus de la saga contient des massacres furibonds, lesquels sont boostés à tous les niveaux de façon à satisfaire les attentes du XXIe siècle : plus de personnages ; plus de sang. Malheureusement, à la différence des autres Toxic Avenger, l’humour pipi-caca est assez présent ici – à un degré supportable, précisons-le. Fait amusant : dans son introduction, ce film présente des excuses pour les deux suites qui ont précédé, alors que moi, je n’ai rien à leur reprocher (pour des productions Troma Entertainment, elles sont franchement drôles). D’ailleurs, si une cinquième partie bien ficelée voit le jour à l’avenir, je ne me la refuserai pas. ()