Alien : Covenant

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Bande-annonce 2

Résumés(1)

Les membres d'équipage du vaisseau Covenant, à destination d'une planète située au fin fond de notre galaxie, découvrent ce qu'ils pensent être un paradis encore intouché. Il s'agit en fait d'un monde sombre et dangereux, cachant une menace terrible. Ils vont tout tenter pour s'échapper. (20th Century Fox FR)

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Bande-annonce 2

Critiques (20)

Ivi06 

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français J’ai aimé presque toutes les scènes du film, sauf celle avec l’Alien, ce qui est sans doute un peu dommage pour un film qui s’appelle « Alien »... Visuellement, tout fonctionne à merveille, la cinématographie est superbe, les décors splendides, et même les effets visuels sont excellents. Le grand Alien était chouette, mais les hybrides blancs n’étaient pas nécessaires, même si je comprends qu’ils aient essayé de proposer quelque chose de nouveau. Cela aurait pu être un grand film, mais malheureusement il y a trop de moments du genre « oh, noooon ! », pendant lesquels j’ai presque levé les yeux au ciel (la palme revient ici à la « naissance »). Le film n’était pas aussi mauvais que Prometheus cependant, donc je lui donne une étoile de plus. Les acteurs étaient excellents, même si j’ai été un peu surpris par le choix du duo de Votre Majesté, mais ce n’est pas un reproche, au contraire. Je ne peux pas blâmer les acteurs, mais j’aimerais bien demander à Ridley Scott s’il est vraiment content de son « travail ». ()

Filmmaniak 

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français D'un point de vue audiovisuel, la suite de la mythologie des Aliens est impressionnante et agréable à regarder. Cependant, c'est tout. Covenant répète en fait de nombreuses erreurs de Prometheus et ajoute quelques détours qui semblent être des innovations superficielles, mais qui en réalité éloignent encore plus l'Alien en tant que monstre emblématique de ce qu'il représentait auparavant. Dans le premier film de 1979, il incarnait le mal absolu et presque invincible, source d'horreur à des kilomètres. Dans Covenant, il est réduit à une arme mortelle moyennement efficace qui n'a aucune chance d'effrayer qui que ce soit, car il y a cette fois-ci un autre antagoniste principal, reléguant l'Alien au second plan (et il ne fait son apparition qu'à la dernière demi-heure). Par ailleurs, les héros sont la plupart du temps présentés de manière superficielle et insuffisante, ils se promènent encore bêtement sur une planète inconnue sans combinaison spatiale, et le film souffre d'un démarrage long et de spéculation démente, commençant par des débats sur le sens de l'existence et le but de la vie, pour finir par montrer les débatteurs qui jouent de la flûte et citent des auteurs littéraires. Cette manière de concevoir la saga des Aliens me paraît quelque peu malheureuse… ()

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claudel 

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français 45 minutes d’ennui mortel, puis quelques minutes d’action décente et de suspense et, enfin, encore de l’ennui mortel. À côté de l’action discontinue, le final, le dénouement de l’histoire, est bizarre. Un film qui séduira surtout – ou uniquement – les fans inconditionnels de Michael Fassbender. D’un autre côté, j’admets qu’au cinéma, cet ennui mortel peut se révéler visuellement intéressant. ()

POMO 

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français Ne regardons pas autant en arrière. Le classique vivra éternellement, dans une "perfection solitaire", comme David l'appellerait sa place dans l'histoire. Et maintenant, après trente ans, arrive le temps d'une nouvelle conception du sujet - simple mais efficace, divertissante au niveau des blockbusters actuels, pas des chefs-d'œuvre révolutionnaires du genre. Alien: Covenant m'a plu car il est un film d'horreur de science-fiction plein d'esthétisme visuel fantastique, de décors fabuleux, d'une musique qui (enfin) fait référence à Goldsmith et Horner dans leur atmosphère. Il m'a plu avec ses scènes palpitantes graduées de manière impressionnante (la première séquence de retour sur Lander, qui dure peut-être dix minutes, est l'une des meilleures de la série) et dans le respect des règles du genre, avec une bonne répartition des personnages dans des situations où ils sont éliminés. Avant que les personnages ne sortent d'un pétrin, le spectateur sait déjà qu'un autre va leur compliquer la tâche. Sans parler de la dose honnête de brutalité et de sang. AVERTISSEMENT DE SPOILER: Le scénario explique l'origine des créatures de Giger et cette idée suicidaire que le mal ultime a été créé par un androïde créé par l'homme me plaît. Thématiquement, c'est une version différente du Skynet de Cameron. Ajoutez à cela la confrontation des androïdes, qui offre une nouvelle dimension intéressante à l'univers des extraterrestres. Et une conclusion pessimiste qui offre de formidables possibilités de développement dans les prochains épisodes. J'ai hâte ! ()

Lima 

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anglais It’s worse than Prometheus and the least interesting film in the entire saga. While the much-criticized Prometheus somehow matures into a better experience with repeated viewings, Covenant is an overripe and completely squeezed lemon. The mythology built around the most famous space killer is not interesting and the result is like a mediocre movie by a mediocre director, which takes place half of the time at night, in darkness, in dim light (Prometheus was much, much more visually engaging and colourful in this respect) and you won’t find any sign of Scott’s visual bravado. The crown is put on by the WTF mutual welcoming of the android and the newly hatched alien, which is like a cut from a Zucker brothers parody. What was that, dear producers? Please let Alien be a milestone in film history where it belongs and don't milk it like a cash cow, the poor thing is already barely hanging on. ()

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