Indiana Jones et le Cadran de la Destinée

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Bande-annonce 9

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1969. Indiana Jones s’apprête à tirer sa révérence. Après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, l'estimé professeur d'archéologie est sur le point de prendre sa retraite et de couler des jours paisibles dans son modeste appartement, où il vit seul désormais. Tout bascule après la visite surprise de sa filleule Helena Shaw, qui est à la recherche d'un artefact rare que son père a confié à Indy des années auparavant : le fameux cadran d'Archimède, un appareil qui aurait le pouvoir de localiser les fissures temporelles. En arnaqueuse accomplie, Helena vole l’objet et quitte précipitamment le pays afin de le vendre au plus offrant. Indy n'a d'autre choix que de se lancer à sa poursuite. Il ressort son fedora et son blouson de cuir pour une dernière virée... (Walt Disney Company France)

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Bande-annonce 9

Critiques (12)

Goldbeater 

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français Indiana Jones et le Cadran de la Destinée est, à certains égards, un film tellement safe et moderne dans sa conception que cela lui ôte tout attrait, originalité, physicalité et audace créative, des qualités que nous avons tant appréciées dans les trois premiers volets. Et malheureusement, même la magie de l'aventure semble avoir disparu. Le générique mentionne quatre scénaristes et cette disparité est palpable dans le produit final. En fait, on a même l'impression que le scénario a été écrit par l'intelligence artificielle. C’est que le film semble inclure tous les éléments caractéristiques d'un long métrage de Jones, mais il donne plutôt l'impression d'être une imitation préfabriquée d'Indiana Jones plutôt que sa véritable dernière aventure. Est-ce pire ou meilleur qu’Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal ​​? Difficile à dire. Certaines choses sont mieux, d'autres sont pires. Quoi qu'il en soit, il n'a pas atteint la qualité de la trilogie originale, même pas avec son train numérique. ()

Ivi06 

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français Le nouvel Indiana Jones m’a laissé des sentiments très similaires à ceux du précédent Royaume du crâne de cristal : il est agréable de revoir ce personnage emblématique sur grand écran, mais c’est surtout de la nostalgie que l’on ressent. Ce n’est plus ce que c’était. Et ce n’est pas parce qu’Indy a pris des rides et perdu du muscle... Les nouvelles suites n’ont tout simplement plus la même magie et le même charme. Mais Indiana Jones reste toujours populaire et les producteurs comptent beaucoup sur cela, selon moi. Et ils comptent aussi sur le fait que le spectateur pardonnera tout un tas de bêtises, et que lors de scènes d’action délirantes qui défient les lois de la physique, il fermera un peu les yeux, parce que c’est Indiana Jones après tout... Les personnages sont par ailleurs sympathiques. J’apprécie toujours Mads Mikkelsen en méchant, même si on était loin du personnage du Chiffre. 😊 J’étais aussi contente de revoir Thomas Kretschmann en nazi : comment pourrait-il en être autrement, n’est-ce pas ? Personne ne pourra jamais lui prendre ce rôle. En résumé, le Cadran de la Destinée a été pour moi une petite parenthèse nostalgique dans laquelle j’ai apprécié quelques références aux films précédents, mais sinon c’est vraiment de la série B oubliable, qui n’offense pas mais n’enthousiasme pas non plus. Les beaux jours d’Indiana Jones sont depuis longtemps derrière nous et les deux derniers films n’ont fait que profiter de cette popularité, ce qui est malheureusement assez courant par les temps actuels... [Festival de Cannes 2023] ()

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POMO 

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français La distribution des acteurs et la partition musicale de John Williams sont réjouissantes, Harrison Ford est rajeuni de façon remarquable, et la surprise du dénouement final est plus crédible que les absurdités d’extraterrestres du film précédent. Mais l’omniprésence du numérique, où même le tuk‑tuk circulant dans les étroites rues marocaines n’est pas réel, est quelque chose que JE NE VEUX PAS dans un film d’Indiana Jones, parce que j’ai fait l’expérience de la trilogie d’origine et que je l’aime toujours pour son inventivité et son honnêteté. Cette routine dans laquelle les réalisateurs n’ont pas besoin de se montrer créatifs sur le plan cinématographique, parce que la post-production en images de synthèse fait tout pour eux, est tout à fait à l’opposé de l’approche originale de Spielberg. Le potentiel de chaque scène en souffre. ()

Lima 

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anglais The last quarter of an hour is the only passage where some nostalgia works, and if I were the narrator, I would be much more uncompromising in my completion of Dr. Jones's life's journey. I would have found it much more emotional and logical (connoisseurs know). The rest is inconsistent to say the least. The opening with the train when there's palpable CGI rushing at you from all sides, is not enjoyable, it makes you remember with sadness the train opening of The Last Crusade, where Spielberg didn't need computers (understandably) and it worked much better. The tediously long chase in Tangier again, given the long takes, looks as if the local streets are empty of cars and people and as long as airport runways, I didn't believe it for a second. And that's how it is with everything. It's just such a see-and-forget feel-good movie most of the time, about on the level of the overwrought fourth film. Otherwise, the much-criticized Phoebe Waller-Bridge was fine, she has such a mischievous charisma and is a great counterpoint to the curmudgeonly Harrison Ford, and actually entertained me the most out of the whole film. ()

MrHlad 

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anglais I've had that famous John Williams tune playing in my head for about two hours now, and not because I enjoyed the fifth Indy so much, but rather because I'm in the mood to watch the first three episodes. I'll never watch the fifth one again, I'm almost certain of that. It’s not a completely bad movie, which could be said of the fourth, but it's just not “it”. The new Indy is carried by Harrison Ford and he's really trying his best, but he's just left on his own and he’s obstructed by everything else. The Fifth Indiana Jones film is visually bland and in some moments regularly repulsive, but mostly it has a boring story full of boring characters, and especially the bad guys are a bunch of uninteresting bums who are impossible to be scared of – Mads Mikkelsen is looking like he's about to start crying the whole time. Moreover, the treasure hunt itself leading up to the very weird (and slightly uglier) finale consists mostly of routine chases, because someone figured they couldn't have an 80-year-old Ford running around the set doing action shenanigans. James Mangold directs it all with no attempt at invention, and the result is at best a passable piece of craftsmanship somewhere on the level of National Treasure: Book of Secrets and a tiny bit above Uncharted, which is definitely not praise for this franchise. It lacks the style, the inventiveness and the evident joy that accompanied the first three films and, to some extent, the fourth. A product without soul. ()

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