Résumés(1)

Les méandres de l'imagination débordante d'une jeune fille, dont les rêves sont la seule échappatoire à sa vie cauchemardesque. Délivrée des limites de l’espace et du temps, elle est libre d'aller là où l'entraîne son imagination, et ses aventures incroyables brouillent la frontière entre réalité et imaginaire. Internée contre son gré, Babydoll n'a toutefois pas perdu la volonté de vivre. Déterminée à se battre pour recouvrer sa liberté, elle pousse quatre autres jeunes filles — Rocket la grande gueule, Blondie la débrouillarde, Amber la fidèle des fidèles et Sweet Pea toujours hésitante — à se regrouper pour tenter d'échapper à leur destin terrifiant, à la merci de leurs geôliers, Blue, Madame Gorski et le High Roller. Entraînées par Babydoll, les filles engagent une bataille fantastique contre l'univers fantastique, des samouraïs aux serpents, avec un arsenal virtuel à leur disposition. Ensemble, elles doivent décider de ce qu'elles sont prêtes à sacrifier pour rester en vie. Mais, avec l'aide d’un Sage, leur incroyable voyage — s'il réussit —les conduira à la liberté. (Warner Bros. FR)

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Vidéo (14)

Bande-annonce 3

Critiques (16)

POMO 

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français est comme une combinaison d'une comédie musicale décadente et d'une adaptation de jeu vidéo terne. Il repose sur une structure narrative se déroulant dans la "réalité", à partir de laquelle il s'échappe dans des numéros musicaux (niveaux de jeu vidéo). Cependant, la structure narrative ne fonctionne pas et elle est seulement là pour maintenir ensemble les sauts vers des évasions d'action fantastiques. Et ces évasions, dans lesquelles les héroïnes éliminent des nazis, des ninjas, des dragons et des orques du ou des robots de , ne fonctionnent pas plus de dix minutes, car elles ne sont qu'une exposition visuelle sans aucune innovation. Même avec le de Tarantino, il y a des similitudes dans la construction du scénario - mais Tarantino est tout simplement un "peu" meilleur scénariste que Snyder - sa structure narrative était plus solide et les épisodes individuels la développaient encore davantage. Ce dont est fait est auto-indulgent, sans signification et sans objet. Un amalgame de la culture pop qui devait déjà sentir l'échec sur papier. ()

claudel 

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français Un film visuellement réussi avec une piste musicale qui arrache. Les scènes d’action m’ont moins emballé que le reste, par contraste avec le dénouement final qui m’a intrigué au plus haut point – j’ai été totalement bluffé par la proposition du réalisateur. Je mettrais quelque part entre trois et quatre étoiles, mais pour l’univers fantastique, les idées et la musique jouissive, je vais arrondir vers le haut. ()

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Filmmaniak 

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français Un film situé entre deux extrêmes. À un moment donné, c'est une aventure parfaitement huilée, follement divertissante, pleine d'action et presque géniale, pleine d'énergie et de plans spectaculaires, à un autre moment, c'est un spectacle guindé, ennuyeux et stupide, fait de dialogues dénués de sens. Et les séquences où le spectateur s'amuse et s'ennuie se succèdent régulièrement. Chaque fois que quelqu'un commençait à parler, j'essayais de regarder par terre et de ne pas écouter. Horrible. En revanche, quand ça commençait à tirer, je ne pouvais pas détacher les yeux de l'écran. Des mondes fantastiques parfaits, ça vaut le coup de voir le film juste pour les zombies soldats allemands de la Première Guerre mondiale propulsés par une machine à vapeur avec des montres. Génial. Mais toutes ces paillettes sont enveloppées dans une histoire ennuyeuse se déroulant dans un asile, totalement inutile et sans intérêt. Sucker Punch est comme un très beau tableau, mais placé dans un cadre vraiment hideux. Moyen donc. ()

Lima 

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anglais Snyder is fantastic with visuals and music (anyone who has seen the brilliant but sadly underrated Watchmen knows this), but for God's sake, never, ever let him write his own scripts! If I were to rate only the composition of shots, the imaginative details, the spectacular slow motion (which, I don't know how Snyder does it, I don't mind it in his case) and the the soundtrack (“Army of Me” by Bjork made me foolishly believe I would love the film), it would be worth a full score. But the decadent pop-cultural, cringeworthy, scripted ballast, which also pretends to convey some higher message, was impossible to digest even with a full brain shutdown. Snyder is a great craftsman, but he needs a permanent whip over him and a humility within himself, which, on the other hand, was not lacking in his almost reverential adaptation of Moore's “Watchmen”. ()

J*A*S*M 

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anglais I love Zack Snyder in Watchmen and Dawn of the Dead, but I don’t like him in the silly 300. Sucker Punch is much worse than 300, thanks God that I didn’t go to the cinema for it. This is just pointless teenage fantasy that pretends to have a meaning. I’m not able to argue why I think it only pretends so, because this time I couldn’t be bothered to look for it while watching it, and I just don’t want to think about this film any further. Even the action is not that exciting. A fail of biblical proportions. ()

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