Transformers 2 : La revanche

  • États-Unis Transformers: Revenge of the Fallen
Bande-annonce 3
États-Unis, 2009, 150 min (alternative 144 min)

Réalisation:

Michael Bay

Photographie:

Ben Seresin

Musique:

Steve Jablonsky

Acteurs·trices:

Shia LaBeouf, Megan Fox, Josh Duhamel, Tyrese Gibson, John Turturro, Ramon Rodriguez, Kevin Dunn, Julie White, Isabel Lucas, Matthew Marsden (plus)
(autres professions)

Résumés(1)

Deux ans se sont écoulés depuis que Sam Witwicky a sauvé l'univers d'une bataille décisive entre les deux clans rivaux de robots extraterrestres. Malgré ses exploits, Sam reste un adolescent préoccupé par les soucis des jeunes gens de son âge : alors qu'il s'apprête à entrer à l'université, il doit se séparer de sa petite amie Mikaela et de ses parents pour la première fois de sa vie. Il lui faut aussi tenter d'expliquer son départ à son nouvel ami, le robot Bumblebee. Sam aspire à vivre une vie normale d'étudiant, mais il doit tourner le dos à son destin pour y parvenir. Si Sam a fait ce qu'il a pu pour tirer un trait sur le conflit qui a eu lieu à Mission City et revenir à ses préoccupations quotidiennes, la guerre entre les Autobots et les Decepticons, tout en étant classée secret défense, a entraîné plusieurs changements. Le Secteur 7 a ainsi été dissout et son plus fidèle soldat, l'agent Simmons, a été révoqué sans ménagement. Résultat : une nouvelle agence, NEST, a été mise en place... (Paramount Pictures FR)

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Vidéo (6)

Bande-annonce 3

Critiques (12)

claudel 

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français Michael Bay a fait exploser tout ce qu'il pouvait ! De l'action, des tirs et des explosions en veux-tu en voilà avec un zeste d’humour et la bonne vieille équipe. Rien d’exceptionnel, mais ce n’est pas non plus un navet. Pour moi, les Transformers, c’est comme un conte de fées pour les ados et adultes qui veulent décompresser face au stress de la vie réelle. S’installer dans un complexe de cinéma et se laisser entraîner dans l’univers de Bay pendant deux heures et demi… ()

POMO 

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français Absence de sentiment pour la mesure et le bon goût Michael Baya dans le monde magique et poli des premiers Transformers ? Les Transformers vivent un changement similaire aux Bad Boys. Le producteur Spielberg a disparu, Bay s'est détaché de la chaîne. Le premier film était génial grâce à plusieurs aspects agréables et mélangés avec modération : la célébration visuelle de la beauté de Megan Fox, sa relation pétillante avec l'incertain Shia, la découverte progressive des robots attachants, dont chacun avait une place dans le scénario et suscitait l'émerveillement et la sympathie. Le film ne se précipitait nulle part, savourant chaque scène, et la seule chose qui l'a un peu affaibli était l'opacité de l'action finale. Dans la suite, Megan et Shia (dans des actions tout aussi opaques) évitent simplement les explosions, et l'humour du genre un petit robotchien poursuit Megan sur sa botte (!) fait son apparition. Les robots sont littéralement gaspillés, le potentiel de leur individualité est enterré, certains sont même ennuyeux (les "jumeaux" qui accompagnent les héros). Et quand un robot finit par enthousiasmer, il est rapidement destitué de son trône par ses immenses testicules en acier, sous lesquelles John Turturro appelle à l'aide avec son émetteur une troupe de marines (!!)). Ce n'est simplement pas la direction que je voulais voir les Transformers suivre. La fragmentation générale du scénario, où l'intrigue n'est qu'un mince fil pour des orgies d'action incessantes qui, après deux heures, ne PEUVENT PLUS satisfaire, sans parler de... ()

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Isherwood 

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anglais Michael Bay has transformed himself into his own genre, where he has made his own rules that physics, logic, and even Spielberg himself cannot affect. On the other hand, no one else has such perfectly stitched visuals with slow-motion shots of the characters' hellishly serious faces, military formations, and the setting sun with heroic music blaring. It’s off the rails, without a drop of judgment and a sense of calm. And with the overblown runtime, it hits the viewer with the vigor of a little cheeky brat whose rich parents bought him a lot of toys from Hasbro and he doesn't know what to do with them out of mischief. So there are explosions everywhere and in between all this we have Shia and Megan, who just happen to look good again. I admit that I have probably never felt so awkward after leaving the movie theater for having actually liked this. But I don't want to see it a second time, not without the assistance of the big screen. PS: Even after a second viewing, it's still surprisingly entertaining. In a perversely demented way, but it's fun. :) ()

J*A*S*M 

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anglais 100% concentrate of one artist. From another director, I would love it, but this Bay… and I can only take him dissolved. Everything bangs, everyone is gorgeous, everyone is American… and then the humour, the humour!!! Horny dogs, a stoned mum, moron robot twins… Two stars for the special effects, otherwise it’s rubbish. ()

Marigold 

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anglais Bay likes to escalate. This means that the second film is bigger, more explosive, more infantile, stupider, more lobotomized... maybe a little funnier. Roberto Orci and Alex Kurtzman used most of their intelligent ideas in the Star Trek prequel script, so in this Hasbro mishmash they have no choice but to dilute the really demented plot with decent gags and self-parodying one-liners. Which is nice - otherwise Revenge of the Tinsmiths would seem really unbearable to me. Even so, watching two and a half hours of destruction, confusing action and rushing concrete mixers is a solid impact on the nervous system. Especially because, compared to the first film, it's no longer ballbusting - it's hackneyed. The moment of surprise is there, so we get Emmerich's recipe "if you don't know what to do, blow up as much of the world's ropes as possible". At the end, the divine Michael Bay prepared his much-loved pathos in a raw state for me, for which I thank him and send him a tin kiss. I know that Michael Bay lovers will be drooling with happiness, but for a viewer, who, in addition to a ton of steel armor, also likes a little bit of thought put into things, this year's blockbuster is Star Trek. And that won’t change no matter what Michael Bay does. ()

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