VOD (1)

Résumés(1)

Téléporté de son quotidien douillet par une mystérieuse force cosmique, Howard The Duck, le canard extra-dimensionnel fan de bière et de cigares, débarque sur notre planète, à Cleveland, au milieu des humains. En plus de s’habituer à sa nouvelle vie en compagnie de la rockeuse Beverly (Lea Thompson) et du scientifique Phil (Tim Robbins), le voilà obligé de prendre l’humanité sous son aile et de lutter contre d’étranges menaces s’il ne veut pas finir en confit. (Elephant Films)

(plus)

Critiques (4)

NinadeL 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Personally, I don't have a problem with Howard the Duck. The film stars the likable girl from Back to the Future and Jeffrey Jones. It's just like the genre movies I remember from the 80s. Of course, comics are available today, so there's really no reason not to understand. ()

D.Moore 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais "I am now one of the dark lords of the universe!" - "That must be a big responsibility..." The film started quite entertainingly, but gradually became more and more boring, and towards the end even Howard's sometimes quite funny bon mots didn't save it. What I liked most was the punishingly short opening set in the duck world - what happened next in New York was too "American" for my taste, full of clichéd wisdom, lessons and rock/disco. Even the music of my favorite John Barry didn't help the film much this time - just listening to the soundtrack is a much better idea. ()

Goldbeater 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Étant gamin, ce film me plaisait beaucoup, mais avec les années, je n’en ai retenu pratiquement que la scènedu fauteuil, rien de plus. Quand, il y a quelques jours, je me suis repassé Howard... une nouvelle race de héros après une quinzaine d’années, je n’ai cessé d’être ébahi tellement ce film est bizarre dans son essence et dans sa capacité à encore m’amuser après toutes ces années. À l’époque de sa sortie et jusqu'à ce jour, les critiques sur ce fiasco au budget délirant du producteur George Lucas ont classé celui-ci au rang de l’un des pires films de toute l’Histoire – de façon injuste à mes yeux. Bon, il s’agit d’une incroyable absurdité dans laquelle on trouve une série d’idées réellement saugrenues et un humour plutôt pince-sans-rire, mais d’un autre côté, il fait partie de ces aventures rétro divertissantes avec lesquelles il est difficile de s’ennuyer. J’aime à penser que Howard... une nouvelle race de héros était en avance sur son temps et que c’est ça qui lui a plus ou moins cassé le dos ; aujourd’hui, à l’époque où les blockbusters-BD qui marchent le mieux sont ceux avec un raton-laveur parlant et un bout de bois, ce spectacle farfelu ferait du bien. Je trouve malgré tout que ce film a plus sa place au milieu des années 80, dont l’atmosphère se mêle d’une touche néo-noire et qu’agrémente à merveille la majestueuse musique de John Barry et la bande-son rock particulièrement accrocheuse (chantée en bonne partie par l’actrice principale Lea Thompson). Contrairement à la plupart des adaptations cinématographiques de bédés contemporaines, qui ne sont plus à mon goût (y compriscelles de Marvel), c’est avec plaisir que je me repasseraice film-ci un de cesjours. Howard... une nouvelle race de héros restera vraisemblablement pour moi un genre de petit plaisir coupable que je n’hésiterai pas à défendre. ()

kaylin 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais It's true, sometimes you hear about certain movies being terrible, but when you actually watch them, you realize they're not that bad after all. Sure, this is a comedy where the actors overact, which doesn't appeal to everyone, and Tim Robbins is terrible in it, but I enjoyed the movie, as it was pretty wacky and occasionally had some good ideas. ()