Résumés(1)

Il se passe des choses bien étranges à Santa Mira, petite ville d’apparence tranquille. Suite à l’assassinat de l’un de ses patients, le Dr Daniel Challis vient y enquêter, accompagné d’Ellie Grimbridge, la fille du défunt, déterminée à retrouver les coupables. La présence d’un masque de Halloween près de l’homme assassiné conduit le duo jusqu’à l’usine de jouets dirigée par l’inquiétant Conal Cochran, protégé par une garde rapprochée d’androïdes… (Le Chat qui Fume)

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Critiques (5)

POMO 

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français Une réalisation audiovisuelle correcte, avec une bande son géniale à la Carpenter, bien construite jusqu'au dernier tiers au niveau du scénario également (le secret entourant l'usine). Le développement du sujet, tel qu'il finit par mettre les cartes sur table, et la manière dont le héros principal résout la situation, enterrent cependant tout cela de manière définitive. Il en résulte un film violemment pulpeux de série B qui fait rire. Stacey Nelkin ressemblait à Michael Jackson. JEREMIE ()

Lima 

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anglais I didn’t mind at all that it wasn’t about Michael Myers, I liked the departure from the Halloween universe. The premise was in keeping with what was being made in the 1950s and 60s, i.e. appropriately wacky, but in a nice, interesting way. But the cinematic execution of it is absolutely, utterly awful. This is what happens when a film is made by someone with vision but no talent. Zero production value, lack of tension, scenes that unintentionally parody themselves, and the whole thing is clumsily edited on top of that. 97 minutes of suffering, but at least the final few seconds were nice. ()

Isherwood 

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anglais The editor of the first film wrote a script, which he then directed, to model a whole new mythology on a pedestal called Halloween, which somehow doesn't include Michael Myers. It's a bold move, especially considering the fact that atmospherically it works quite well (even though it's an unprecedented rip-off of Carpy’s methods). But the plot starts to fall flat after a few minutes, and as the runtime progresses, one of the strangest sequels in the film universe is born. Had this been written and directed by Carpenter, this would have been a 100% notch in his collection of cult B-movies. ()

Goldbeater 

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français Un légendaire pavé dans la marre. Ce film aurait pu passer pour une série B d’horreur risible mais regardable si seulement les créateurs n’avaient pas essayé de le greffer sur la série Halloween. Dans l’ensemble, Halloween 3 : Le Sang du sorcier est correctement structuré et bénéficie de la magnifique musique de John Carpenter ainsi que de quelques scènes mémorables. Mais en tant que maillon discordant d’une série par ailleurs cohérente, cette production ne manque pas de décevoir et de fâcher son public. ()

kaylin 

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anglais "Halloween 3" is a disappointment if you expect it to be something like "Halloween" again. It simply isn't. It is much closer to the weirder films of the 80s, sometimes you are not even sure if it is meant to be taken seriously or not. Tommy Lee Wallace made something that doesn't fit into the series, but at the same time doesn't impress much as a standalone film either. Unexpected twists are more of a drawback, as they are rather hard to accept. ()