Réalisation:
Kimo StamboelScénario:
Joko AnwarPhotographie:
Patrick TashadianActeurs·trices:
Ario Bayu, Hannah Al Rashid, Salvita Decorte, Ari Irham, Adhisty Zara, Shenina Cinnamon, Muzakki Ramdhan, Miller Khan, Giulio Parengkuan (plus)Résumés(1)
Père de famille modèle, Hanif décide d’emmener sa femme et ses trois enfants dans l’orphelinat où il a été élevé. Non pas qu’ils n’avaient pas un meilleur plan pour les vacances, mais parce que Mr Bandi – qui a servi de figure paternelle à Hanif – est en train de mourir… Deux des meilleurs amis d’Hanif, également élevés à l’orphelinat, le rejoignent pour rendre hommage au vieil homme. Qui meurt doucement dans un bâtiment étrangement vide. Perdu au milieu de nulle part. Avec des domestiques qui les observent comme s’ils sortaient d’une version indonésienne de Get Out… Relecture libre du classique éponyme de 1981, cette nouvelle version n’est pas à mettre devant les yeux de tout le monde. (Brussels International Fantastic Film Festival)
(plus)Vidéo (1)
Critiques (4)
Voici à nouveau un hit-parade démoniaque de scènes gore et d’images lourdes et sombres venu d’Indonésie. Et moi je dis « continuez comme ça ! ». Kimo Stamboel et Joko Anwar se sont basés sur le film d’horreur indonésien classique La Reine de la magie noire (1981), mais ils en ont modifié et actualisé la substance pour n'en laisser que quelques éléments, le tout donnant naissance à une aventure complètement nouvelle et améliorée. Un groupe de vieilles connaissances se rassemble dans un orphelinat isolé pour se remémorer les vieux jours. Mais le passé se révèle être nettement plus effrayant qu’ils ne veulent bien l’admettre. Le côté horrifique fonctionne à merveille et comporte quelques visions sérieusement perturbantes. Une chose que je pourrais éventuellement reprocher : le recours abusif aux effets numériques (ces insectes générés par ordinateur sont vraiment pénibles à voir). Sinon, l’ambiance est très forte, parfois même infernale.
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Une exposition plus longue avec plus de personnages, mais cela vaut la peine d'attendre - la magie noire se déchaîne ensuite en grand. Bien que les mille-pattes et les insectes numériques nuisent au sérieux du film, les forces démoniaques qui peuvent vous faire prendre une douche d'eau bouillante ou vous forcer à tirer sur les membres d'un enfant attireront votre attention de manière certaine. Une folie horrifique à l'indonésienne.
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Kimo Stamboel isn't a butcher like his brother Tjahjanto, but he sure as hell pulled this off. A group of friends head to the orphanage where they once grew up, but the orphanage has a dark past and it comes to pay its debt. Black magic is a concept we don't see that often in horror films anymore, and Stamboel handles it with grace. Centipedes, worms and caterpillars crawl out of just about every human orifice imaginable and the film is really uncomfortable to watch in places. And a bus full of dead, mutilated children doesn't add to the mood either. After the rather lukewarm first half-hour, the film goes on intensely until the end, with some very nasty and unenviable things happening to everyone involved, including the children. It also has a decent atmosphere, cool make-up effects, a fast pace, and I don't think I've seen anything wilder this year. The setting reminded me in places of their first film Macabre. Story**, Action****, Humor>No, Violence****, Entertainment****, Music****, Atmosphere****, Suspense****. 8/10.
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From the trailer, I was expecting a large serving of blood, gore, disgust, bugs and centipedes crawling out of various body orifices, but in addition to that (perhaps to a lesser extent than expected), and to my own surprise, I also found relatively solid performances and a surprisingly firm director’s hand, thanks to which most of it works smoothly as a serious horror flick. I’m not saying it works throughout 100% of its run, but maybe 98%. The final act is an intense horror hell and I’m looking forward to watching it again in better quality.
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