The Forest of Love

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An examination of the darkness of human behavior, The Forest of Love introduces Jo Murata, a merciless man who uses his charisma to manipulate the people around him. Murata meets Shin and a group of aspiring filmmakers who decide Murata and his turbulent relationship with Mitsuko would be the perfect subject for their film. As the group grows closer during filming, lies become indistinguishable from the truth and the limits of humanity are tested resulting in acts as shocking as they are gruesome. (Netflix)

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Filmmaniak 

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français Le poète, scénariste et réalisateur Sion Sono a apparemment eu carte blanche sur Netflix et a réalisé une compilation extravagante de ses thèmes habituels d'une durée de deux heures et demie. Les écolières sautant des toits rappellent son film Suicide Club, les personnages de cinéastes amateurs rappellent son film Why Don’t You Play in Hell, mais avant tout, ce film The Forest of Love (extrêmement librement inspiré d'un cas réel de tueur en série) évoque son épopée de quatre heures Love Exposure, non seulement par une multitude de thèmes communs (l'influence de l'éducation parentale conservatrice sur les tendances perverses des descendants, la sexualité et les relations de couple basées sur la violence et le pouvoir, un personnage avec un fort culte de la personnalité), mais aussi par un style de narration singulier basé sur le flux des associations libres. L'histoire est presque indescriptible, mais elle comprend une version lesbienne de « Roméo et Juliette », un triangle amoureux entre trois filles (dont deux sont sœurs) avec un séducteur charismatique et manipulateur, une intrigue romantique autour d'une pièce de 50 yens, des tortures électriques et le dépeçage des humains dans un mixeur. Ce mélange de genres excentrique ne manque pas de surtensions émotionnelles, de théâtralité dans les performances hystériques des acteurs et d'éléments de non-sens, rappelant l'absurdité du monde. C'est une chose remarquablement bizarre, mais dont le réalisateur ne crée ici qu'une nouvelle variante et par conséquent rien de nouveau cette fois-ci. ()

Remedy 

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anglais Sion Sono can boldly hold his own with the world's top directors because his directorial trademark has more balls than many a contemporary Hollywood thriller. It's true that in the case of his latest film, he gets a little off the leash at times, but what can you do when it's still so fucking well made. The contrast of highly aestheticized visuals and sickening violence is completely unprecedented here, and when paired with the oddly "gentle" soundtrack, it adds up to a sort of colorized monster movie that is alternately outrageous and perversely fascinating. Some passages perhaps could have used a bit of editing, but I can't say that I was significantly bored despite the truly respectable running time of two and a half hours. Moreover, The Forest of Love works not only as a sweeping reconstruction of Japan's worst criminal elements, but also as a first-rate family thriller about a single-minded, ultra-strict upbringing, including its painful consequences. ()

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