Daniel Isn't Real

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Résumés(1)

Troubled college freshman Luke suffers a violent family trauma and resurrects his childhood imaginary friend Daniel to help him cope. Charismatic and full of manic energy, Daniel helps Luke to achieve his dreams, before pushing him to the very edge of sanity and into a desperate struggle for control of his mind - and his soul. (Samuel Goldwyn Films US)

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Critiques (4)

Goldbeater 

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français Luke, un garçon de huit ans ayant subi un traumatisme, ramène chez lui Daniel, un copain imaginaire. Celui-ci soutient Luke dans l’évolution de son imagination et lui fournit la confiance perdue qu’il avait en lui-même. Mais comme on le découvre ensuite, les apparences sont trompeuses. Un film d’horreur particulier qui part sur une voie intéressante et traite d’une personnalité dédoublée dont les racines trempent peut-être dans la schizophrénie, mais qui est peut-être aussi liée à quelque chose de plus fantasque. L’ambiance est presque hypnotique et le jeu du duo d’acteurs central est remarquable ; Patrick Schwarzenegger capte considérablement l’attention, et pas seulement parce qu’il ressemble énormément à son père quand il était jeune, mais simplement parce que le rôle du petit diable manipulateur lui sied. Si l’intrigue nous avait réservé des situations plus exacerbées et, surtout, un dénouement plus percutant qu’on n'a pas encore vu dans ce genre de films, je serais globalement satisfait. [Sitges 2019] ()

Filmmaniak 

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français Un thriller avec des éléments d'horreur sur un jeune homme confronté à son ami imaginaire d'enfance, qui l'encourage à faire de mauvaises choses et prend progressivement le contrôle de ses actions et de son corps. Les performances solides d'acteurs peu connus dominent cette histoire standard de lutte contre les démons intérieurs à la manière de Jekyll et Hyde assortie d'une mythologie assez innovante des amis imaginaires et des démons qui les contrôlent (probablement mieux développée dans le livre à partir duquel le film a été adapté). La mise en scène assez routinière suffit à quelques scènes remarquables, mais l'élément clé qui pourrait rendre le film réellement marquant n'est pas suffisamment exploité, ce qui rend le film peu marquant malgré quelques idées intéressantes et originales. ()

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EvilPhoEniX 

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anglais Adam Egypt Mortimer and his most interesting and best work. It's the story of a young man who has an imaginary friend in his head who encourages him to do bad things, helps him to achieve his goals, but also slowly gains control over him. Well acted, disturbing, psychological, dreamy and with a great beginning and ending. I loved the demon masks in the background and one crazy scene with a stretched jaw. Enjoyed it, liked it. 7/10. ()

J*A*S*M 

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anglais For me, perhaps the best cheap indie horror of the year (not counting the “bigger indies” that go normally to the cinemas, like Midsommar, for instance). It’s a shame that in the end things strangely fall apart, because, up to the last ten minutes, it leaves a hopeless, sad and dark post-viewing sensation. But then the creators decide to show a bit more than would probably be advisable given the financing, thus weakening a little the impression of a 100% serious film. Nevertheless, I’m glad that Mortimer is improving with each film (I saw much promise the last time), and that they’re coming up with original ideas, or at least adapting them, and I’m curious about what’s next. ()

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