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Chaque jour, 120 millions de dollars en liquide sont retirés de la circulation et détruits par la Réserve Fédérale de Los Angeles. Un gang de braqueurs multirécidivistes va tenter l’audacieux tour de force de mettre la main dessus. Mais ils vont se heurter à une unité d'élite de la police qui n’a pas l'intention de jouer dans les règles de l'art. Tous les coups sont permis pour coincer ces gangsters prêts à tout. (Metropolitan FilmExport)

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Bande-annonce 2

Critiques (10)

Goldbeater 

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français Le film s’ouvre sur l’attaque d’une voiture blindée par un gang de voleurs masqués. Tout semble se dérouler parfaitement, jusqu’au moment où l’un d’entre eux perd son sang froid et abat un témoin, ce qui tourne ensuite au massacre. (Ça ne vous dit rien ?) Les flics débarquent alors sur les lieux, menés par un dur à cuire – un commandant dont l’excès de zèle conduit à des problèmes familiaux, sa femme lui faisant voir de quel bois elle se chauffe. (Toujours pas un goût de déjà-vu ?) S’ensuit un enchaînement de scènes sur la vie personnelle des personnages, la poursuite flics-malfrats, la préparation du vol et, en parallèle, la relation particulière qui se développe entre le flic et l’un des brigands. Après quoi, on assiste au cambriolage parfait qui constitue le pilier de l’intrigue, à une longue et bruyante fusillade entre flics et méchants, le tout se concluant par le duel entre les deux antagonistes principaux. À ce stade, le public grince des dents, parce qu’il ne s’agit plus d’une vague inspiration de Heat, mais bien d’un plagiat pur et dur ! Et pour qu’on ne puisse pas reprocher aux créateurs d’avoir copié un film de A à Z, les dix dernières minutes proposent « d’emprunter » les idées d’un autre célèbre thriller des années 90 ! Mais à ce qu’il paraît, personne ne s’en soucie, car Criminal Squad a pour lui un bon niveau technique, d’excellentes scènes d’action et une distribution correcte. Toujours est-il qu’on ne peut pas ignorer le fait d’avoir ainsi copié à outrance. Gudegast est un voleur ! ()

POMO 

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français A comparer avec les performances de Butler sur la protection des présidents américains. Un crime sale avec des flics durs opérant à la « gangsta » et des méchants qui ressemblent certes à des tueurs, mais qui savent toujours avoir une longueur d'avance sur les défenseurs de la loi. Une bonne idée scénaristique avec le principal braquage d'une banque (son lieu d'action), des fusillades réalistes et captivantes. Il copie beaucoup le classique Heat, mais plus de vingt ans après, et surtout - si c'est sa version « série B », alors c'est une sacrément bonne version « série B ». ()

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DaViD´82 

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anglais Gudegast has a real weakness for the duo of crime classics from the year 95. And he doesn't even try to hide it, in other words, he does his best to imitate them, from stylization to the course to individual twists. Yes, it is a “wannabe" tribute to the two classic movies made by a routine guy with no inventiveness more than anything else, but even such a second-rate non-original genre move can make you happy. And the movie is really good at it, because it hit exactly the pure essence of uncompromising macho rough crime movies. It just slightly slavishly copied scenes from the original movies, so you always know “what´s going on and what to expect". The movie should have been a little bit shorter and should have skipped Nick's family vicissitudes (they're not bad, but annoyingly clichéd and useless because nothing comes out of them), because they just obstruct an otherwise entirely nice and straightforward spectacle. It is exactly that type of manly movies, for which we used to go to video rentals in the 1990s. Moreover, this one is so good that it could almost keep up with the competition at the time. ()

EvilPhoEniX 

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anglais A perfect affair after a long time! Gerard Butler plays another great, tough anti-hero, and I don't think he's had a better role since Law Abiding Citizen (it's a shame this dude does comedies, these movies suit him!). There's a great bunch of thieves, all ex-Marines, capable, intelligent, solidly equipped, who plan to rob a bank that no one has ever managed to rob before. There's less action, but when it gets down to it, it's gritty shootouts that with perfect sound, feel gritty and real, and most importantly, strategic. Butler entertained me a lot with his performance and he played the gangster cop brilliantly. Suspenseful, well shot, well thought out with an unexpected twist at the end, with the highlight of course being the bank robbery itself, which left me holding my breath. A proper guy’s flick. 85%. ()

Lima 

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anglais The script has more holes than a Swiss cheese, which you can see especially during the well narrated heist and then the final twist, which is anything but clever, even though it wanted to be something like The Usual Suspects. And what do we have otherwise? A clash of two strong personalities and a story that relies on atmosphere rather than action, which we only see at the beginning and the very end. So it's a kind of second-rate Heat, and Butler is no Al Pacino, Schreiber is nowhere near a DeNiro-type personality and Gudegast can’t hold a candle to Mann. But if don’t compare, then the emphasis on the characters, the slower pace, the atmospheric realities of L.A., and the ultra-macho Butler as we want to see him, all sat well enough with me and I'll give the four slightly overrated stars, despite the botched twist. ()

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