Light of My Life

  • États-Unis Light of My Life
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Dans un futur proche où la population féminine a été éradiquée, un père tâche de protéger Rag, sa fille unique, miraculeusement épargnée. Dans ce monde brutal dominé par les instincts primaires, la survie passe par une stricte discipline, faite de fuite permanente et de subterfuges. Mais il le sait, son plus grand défi est ailleurs: alors que tout s’effondre, comment maintenir l’illusion d’un quotidien insouciant et préserver la complicité fusionnelle avec sa fille ? (Condor)

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Critiques (5)

POMO 

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français Version plus douce du film The Road, portée par la performance traditionnellement impressionnante d'Affleck et la performance intéressante de la petite Anna Pniowsky. Très minimaliste, presque toute la durée du film se concentre sur les dialogues entre le père et la fille dans des forêts ou des maisons abandonnées. De plus, on explore leur comportement - leur stratégie de survie - qui est cohérente avec la révélation progressive du mystère de ce qui s'est passé dans leur monde et comment cela a changé la société à laquelle ils évitent de se confronter. Un film intime pour les spectateurs patients et attentifs. Trois et demi. ()

J*A*S*M 

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anglais Those few flashes of the character of Elisabeth Moss clearly encourage the viewer to make analogies with The Handmaid’s Tale. Affleck’s film certainly overlaps with it, but the atmosphere is very different. Light of my Life is a typical American indie, beautifully shot, where the main action is typically long, with people talking, and other times it’s totally silent. The focus is the relationship between father and daughter, and the post-apocalyptic props are nothing but (tasty) spices. #KVIFF2019 ()

Goldbeater 

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français Un film lent et agréablement chaleureux dans lequel les deux acteurs principaux jouent de façon naturelle et qui est constitué en bonne partie de longs dialogues. Ici, la dystopie est plus ou moins reléguée à l’arrière-plan et on n’apprend pas grand-chose sur le fonctionnement de cette société à une période où la Terre ne compte pratiquement plus de femmes. Casey Affleck ne s’aventure pas non plus à montrer tous les aspects du chaos et du désespoir d’une société en décrépitude, à l’inverse de Cuarón dans son film d’action Les Fils de l'homme. Au lieu de ça, il garde toute notre attention pour la canaliser sur la relation entre le père et la fille, ce qui fonctionne parfaitement pour le spectateur qui arrive ainsi à se mettre progressivement dans la peau des personnages et à croiser les doigts pour eux, par sympathie. Comme réalisateur, je pense que Casey Affleck se révèle sous un jour très positif et comme scénariste, il se défend pas mal. Le dernier dialogue, en particulier, est un élément joliment pertinent du film. [KVIFF 2019] ()

Filmmaniak 

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français Un film indépendant en huis clos, se déroulant dans l'environnement non conventionnel d'un avenir dystopique où presque toutes les femmes ont disparu, et qui traite de manière marginale du fonctionnement de cette société fictive et de ses règles, mais qui se concentre principalement sur les relations entre les deux principaux personnages (un père et sa fille de onze ans déguisée en garçon) et sur leurs discussions qui vont de l'analyse des différences entre morale et éthique à une conférence sur la menstruation, mais qui ne se distinguent pas par une grande prouesse scénaristique qui pourrait soutenir le film malgré son rythme lent et son manque d'action. Malgré cela, on ne peut nier l'atmosphère forte, les performances précises des acteurs et la légèreté du style de narration d'Affleck. ()

angel74 

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anglais "It's nothing Dad, it's a loving adventure..." - I was a bit skeptical at the beginning because of the very slow flow of the plot, but once I understood what it was all about, the story completely engrossed me and I enjoyed every minute of it until the perfectly orchestrated ending. Hats off to Casey Affleck, he did a hell of a job with this one. (80%) ()