Kodoku: Meatball Machine

Les films d'horreur japonais sont tous horriblement débiles, excessivement brutaux, déjantés et des hectolitres de sang y sont projetés quotidiennement, néanmoins, même dans ce genre particulier et idiosyncratique, la ligné entre l'ennui et le divertissement est ténue. Le divertissement augmente avec l'originalité et la capacité des créateurs à ne pas prendre le film au sérieux et à le tourner en dérision. Cependant, Kodoku : Meatball Machine recycle non seulement ce qui a déjà été vu maintes fois ailleurs, mais en plus, sa première moitié consiste en un drame trop banal sur un recouvreur de dettes qui se noie dans des problèmes financiers et dans une romance prudente avec une jeune vendeuse de livres, ce qui ne s'intègre pas totalement dans le sujet farfelu des extraterrestres transformant les humains en mutants assoiffés de sang (et ensuite en jus). Il ne reste qu'une étrangeté de premier degré, mais cela est gâché par un montage clairement amateur, une bande son mal choisie, des effets spéciaux épouvantables et une réalisation globalement médiocre, sans parler du fait que l'histoire n'a même pas de sens basique. Sérieusement, la même personne a-t-elle réalisé Tokyo Gore Police ? (11/07/2017)

Meatball Machine Kodoku is a Japanese production that is mainly aimed at those who like similar movies. However, it may not suit even them because it is quite unbalanced, at least in terms of the special effects. However, I think that the movie's producer let his imagination run away with him, and some scenes would have been easier to do with CGI. However, even the CGI could have been more convincing. In this case, it affected the movie rather detrimentally. (11/11/2019)