L'Avion de l'apocalypse

  • France L'Invasion des zombies (plus)
Bande-annonce

Résumés(1)

Venu couvrir l'arrivée d'un éminent scientifique, un journaliste assiste à l'atterrissage d'un avion cachant dans ses entrailles un fléau sur le point de décimer l'humanité. Des hordes de monstres affamés sortent de l'appareil et se jettent sur tous ceux qui croisent leur chemin. Qui pourra arrêter ces créatures avant que le monde entier ne soit contaminé ? (Neo Publishing)

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Critiques (4)

POMO 

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français Attention ! Cette fois-ci, il ne s'agit pas d'un simple film B bon marché, mais d'une ambitieuse coproduction internationale avec des scènes de foule, des hélicoptères et beaucoup de tirs de mitraillette ! Et même avec une conclusion surprenante à la fin, soulignant l'idée du film ! Le scénario est bien : il se passe toujours quelque chose, l'environnement dans lequel évoluent les personnages principaux change constamment, et la violence - soit dit en passant, particulièrement brutale et principalement exercée sur les femmes - est audacieusement sadique. Mais là s'arrête le compliment. Umberto Lenzi est un vrai cinéaste de série B, ce qui se ressent dans l'absence de peur et d'atmosphère, dans la direction des acteurs, ainsi que dans la logique terrifiante (vous tirez sur des créatures avec des mitraillettes et rien ne se passe, mais quand vous leur coincez les doigts dans la porte, ils crient comme en accouchant). Et les masques en latex sont ridicules. ()

Lima 

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anglais It was even dumber than I expected. Bad actors, among which stands out the unbelievably crappy acting of Hugo Stiglitz, which could be boldly classified as the performance of a porn actor. The good thing is that there is always something going on in the film and boring speeches are kept to a minimum. The viewer gets to enjoy the zombies a lot, or rather the infected and mutated creatures. They're always running around, always murdering someone and, like vampires, sucking blood like maniacs with their eyes bulging. In short, a proper B-movie that constantly tempted my diaphragm with its stupidity. And the unintentionally funny twist at the very end is just the icing on the cake. ()

Goldbeater 

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français Un petit nuage de mystification a dû planer au-dessus de ce film, car toutes sortes de variations sur son titre dans différentes langues contiennent les mots « zombies » ou « walking dead » alors qu’en fait, il n'y a aucun mort-vivant dans le sens « romérovien » du terme. Ici, ce sont des mutants radioactifs qui se déchaînent et qui sucent le sang tels des vampires, agissent de façon coordonnée, tranchent des gorges à la machette et tirent à la mitraillette. Or, quand on traduit le titre italien original mot pour mot, on ne trouve aucune mention des morts-vivants (par contre, le titre italien dévoile en partie la surprise finale de l’intrigue). Ça, c’était pour mon léger désenchantement ; passons maintenant au film proprement dit. C’est trash. C'est mal écrit et mal tourné et ne fait que parasiter le succès de Zombie (1978), mais avec un jeu d’acteurs pitoyable, des dialogues atroces, une totale absence de logique et la surprise finale mentionnée plus haut qui annihile l’intégralité de ce qui s’est passé jusque là. Quant à ces yeux écarquillés des « contaminés » derrière un masque en latex affreusement réalisé, quelle bonne blague ! ()

Quint 

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anglais Tarantino's favourite zombie film, where the zombies are not actually zombies, but irradiated people with mud on their faces, axes and machine guns in their hands, driving around in cars, cutting telephone cables and ripping off the shirts of extras. Said to be the first zombie film where zombies run around and show signs of intelligence, but this was far more playfully or cleverly sketched out by other, later zombie films (Return of the Living Dead, 28 Days Later and Land of the Dead). Still, there are a few memorable scenes, such as the zombies invading a live broadcast of a typical 80s dance show or their visit to a surgery room. ()