The Rover

  • Australie The Rover
Bande-annonce 3

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Dix ans après l'effondrement de l'économie occidentale, les mines australiennes sont encore en activité, et cette industrie attire les hommes les plus désespérés et les plus dangereux. Là-bas, dans une société moribonde où survivre est un combat de chaque jour, plus aucune loi n'existe. Eric a tout laissé derrière lui. Ce n'est plus qu'un vagabond, un homme froid rempli de colère. Lorsqu'il se fait voler la seule chose qu'il possédait encore, sa voiture, par un gang, il se lance à leur poursuite. Son unique chance de les retrouver est Rey, un des membres de la bande, abandonné par les siens après avoir été blessé. Contraints et forcés, les deux hommes vont faire équipe pour un périple dont ils n'imaginent pas l'issue... (Metropolitan FilmExport)

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Bande-annonce 3

Critiques (7)

POMO 

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français Dans un décor réaliste (c'est-à-dire non fantastique) post-apocalyptique avec un fonctionnement social très désespéré, ce thriller fascinant nous entraîne dans l'atmosphère de l'outback australien. De plus, j'apprécie énormément ces récits peu verbeux où nous pénétrons peu à peu dans la peau des personnages. Cependant, plus le film Rover se développe de manière subtile, plus certains dialogues pseudo-philosophiques semblent vains, et plus sa conclusion est insatisfaisante. Comme s'il admettait lui-même à la fin (et considérait cela comme sa force d'auteur), que ça parlait de rien. ()

Goldbeater 

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français Selon Quentin Tarantino, ce serait le meilleur film post-apocalyptique depuis le Mad Max original. En ce qui me concerne, je tire mon chapeau à David Michôd pour avoir réussi à sortir un 100 % concentré d’ennui de première qualité ! The Rover ne ressemble à rien ; c’est une chose infatuée dans laquelle on espère, en vain, trouver quelque rebondissement, tout en pensant à regret aux bons moments de Mad Max. L'ensemble est sauvé de justesse par la scène finale, qui estcohérente. Mais Quentin, la prochainefois, abstiens-toi ! ()

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Filmmaniak 

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français Le protagoniste principal, l'anti-héros Guy Pearce, se précipite à travers l'Australie post-apocalyptique à la recherche de sa voiture volée, tandis que Robert Pattinson, atteint de troubles psychiques, l'aide dans sa quête. Si quelques mots avaient été prononcés au début pour expliquer l'importance que cette voiture représente pour lui, toute l'intrigue aurait immédiatement disparu. Le rythme est lent et il y a à peine une heure d'action dans le film, mais d'une manière ou d'une autre, ils ont réussi à le rendre presque deux fois plus long. Le personnage de Pattinson est beaucoup plus intéressant d'un point de vue psychologique que celui de Pearce, et Pattinson joue même mieux. En effet, Pearce passe tout le film à froncer les sourcils, et le spectateur se demande pourquoi il agit comme il le fait. Je ne le recommanderais pas même aux fans du post-apo, car si le film n'avait pas commencé avec un générique expliquant qu'il se déroule dix ans après une catastrophe non spécifiée, je n'aurais même pas réalisé qu'il était censé être un film post-apocalyptique. ()

3DD!3 

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anglais Michôd doesn’t make things much easier for the viewer and without any explanation he follows Guy Pearce and his retarded partner (Pattison finally finds his feet as an actor and as a village idiot is entertaining and completely natural) in the hunt for a stolen car, heading daringly toward the twisted finale. The rosy future is just roads and sand or an ugly human caricature with a gun. The first half hour before the main characters meet makes watching more difficult. Many will find it terribly boring, but I quite liked this naturalistic road movie. ()

J*A*S*M 

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anglais (49th KVIFF) The tempo is easy-going, but the atmosphere is gripping, with the dirt, the desert, the hirsute hero, the endless Australian roads, the isolated buildings and the redneck post-apocalyptic population. Pearce and Pattinson are great. And it’s got some balls, as the midget will tell you. So, pretty satisfied, though Tarantino’s hype (OMG! OMG! the best post-apocalyptic movie since Mad Max) was, as expected, exaggerated, if not downright bollocks, as it’s usual with him. The final twist is (especially for me, those who know me will understand) utterly absurd, though the protagonist’s prior behaviour gives it at least some motivation. ()

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