Résumés(1)

Sherlock Holmes a toujours été l’homme le plus intelligent de tous... jusqu’à aujourd’hui. Un nouveau criminel de génie – le Professeur Moriarty – est non seulement est l’égal de Holmes sur le plan intellectuel, mais sa capacité à faire du mal, associée à une absence complète de conscience, peut de fait lui donner un avantage sur le célèbre détective. Lorsque le Prince héritier d’Autriche est retrouvé mort, les preuves, telles qu’elles sont interprétées par l’Inspecteur Lestrade, concluent au suicide. Mais Sherlock Holmes déduit que le prince est la victime d’un meurtre – un meurtre qui n'est qu'une pièce d'un puzzle bien plus grand et bien plus grave, conçu par un certain Professeur Moriarty. L’astucieux Moriarty a toujours de l'avance sur Holmes, il tisse une toile de mort et de destruction - qui fait partie d'un plan bien plus étendu qui, s'il réussit, changera le cours de l’histoire. (Warner Bros. FR)

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Critiques (11)

claudel 

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français Bien que je sois très friand des histoires policières et de détectives, Sherlock Holmes n’a jamais beaucoup eu mes faveurs et cela, tant dans les versions livresques que filmiques. Cela dit, quand j’ai vu la première itération de cette nouvelle adaptation, ça m’a plu. J’attendais donc au moins autant de fun dans cette suite, mais celle-ci m’a plutôt laissé un arrière-goût amer, un sentiment de déception et l’impression que Guy Ritchie a rapidement brûlé toutes ses cartouches. L’histoire est complètement nulle et confuse ; l’intrigue manque d’intelligence. Rachel McAdams, qui a marqué le premier film, a été rapidement et inutilement remerciée, Noomi Rapace ne convenant pas du tout au rôle et ne pouvant pas décemment la remplacer. Quant au professeur Moriarty, je l’imaginais lui aussi plus menaçant et pas comme un psychoterroriste de seconde zone. Pour finir, je dois dire que le métrage me semblait interminable et je devais lutter constamment pour éviter que mes paupières se ferment. ()

POMO 

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français Si toutes ces astuces visuelles, performances d'acteurs, idées de scénario et lieux fantastiques faisaient partie d'une histoire claire et captivante, ce serait l'un des blockbusters de l'année. Mais honnêtement, je me fichais de ce qui se passait et de ce qui allait se passer. Et à quoi servent ces scènes ultra-dramatiques, qui s'éternisent pendant plusieurs minutes, dans lesquelles Sherlock ou Wattson semblent réellement menacés de mort alors que nous savons tous les deux qu'aucun d'entre eux ne peut mourir ?! ()

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Isherwood 

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anglais The first film worked with something like a moment of surprise, with the famous detective navigating Guy Ritchie's exquisite visual world. The second time around, the moment of surprise is gone, and suddenly you start digging into what you didn't mind in the first film. For two hours of runtime, the plot is too diluted, the female protagonists are neglected, the villain is bland, and except for two or three funny dialogue exchanges, there’s a lot of filler. But most importantly, a detective storyline is one you don't care about whatsoever. The action escapades are trite and not saved even by the run through the woods, yet that scene was also genius. During the first half, I was hoping it would pick up in the second half, as some commentators sometimes promised, but for the last half hour, I was praying for it to end. You don't just see blockbuster fails like this. ()

Marigold 

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anglais This is exactly how I imagined that a pop culture update by Sherlock Holmes might look. A gourmet experience with a completely exclusive Holmes vs. Moriarty gambit. Despite many mistakes, a beautiful, intense and charmingly deliberate blockbuster, which has what the first film lacked the most... A soul. ()

novoten 

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anglais Loaded guns, brains in full swing, deduction vibrating at maximum. When Holmes' thought-wrestling escapades conquered cinemas for the first time, I eagerly swallowed every idea of Ritchie's, and when Robert Downey, with a sparkle in his eyes, uncovers a web of intrigues for the second time, I applaud again. Moriarty is indeed the perfect nemesis, capable of threatening the most mundane situation, and in such moments, one needs not only a loyal partner but perhaps also an exhibitionistically tuned brother with a shaky staff. This impressive action-oriented approach simply suits me amidst the faltering Victorian era, and the whole creative team effortlessly navigates through emotions and locations with me. Please, dear Watson, bring on the trilogy. ()

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