Hostel : Chapitre ll

Un budget plus élevé pour la suite a paradoxalement fait plus de mal, car l'incapacité scénaristique et de réalisation de Roth crie encore plus fort dans un emballage formel de meilleure qualité. Il n'est même plus nécessaire de s'exprimer sur ses efforts pour psychologiser le thème du meurtre et de la culpabilité. Une unité en or - certes horrible mais avouez-le bon marché, de série B et stupide... (19/05/2011)

A bit worse than the first Hostel, but with some very good scenes. Overall, it’s a slightly above-par film that shouldn’t disappoint fans of the exploitation subgenre. The ending is quite impressive. (24/12/2007)

Again, absolutely idiotic, but still better than the first part. During the scene of the dramatic march towards the beginning of the torture in the background with Slovak folk music, I had an uncontrollable fit of laughter, just like when I realized that I knew both important torturers from Desperate Housewives and seeing them in such a subordinate role, which they both almost perversely enjoyed, was an experience. However, I can't go higher than the unserious one-star rating. The whole concept of Slovakia and the extremely stupidly pointed story is disgraceful. (04/07/2007)

Un ennui mortel que même une jolie fille déchirée par une faux ne peut rendre meilleur. (20/02/2011)

Eli Roth a refait le même film. On dirait une copie conforme, avec juste quelques différences mineures. Notamment les personnages centraux qui ne sont plus des jeunes hommes, mais bien de ravissantes jeunes filles, et un Jan Vlasák qui a fait place à Milan Kňažko. Étonnamment, je n’ai pas trouvé ce deuxième opus si mauvais que ça ; il n’était pas aussi moche, insupportable et barbant que le premier. J'espère juste qu'Eli Roth ne remettra jamais les pieds en République tchèque ! (16/06/2009)