Résumés(1)

Four sexy coeds take on a weekend job cleaning a haunted house with horrific results in the 1990 cult classic, EVIL TOONS. It seems the ghost of a previous tenant needs some help ridding himself of a murderous cartoon that has escaped from an ancient book. (texte officiel du distributeur)

Critiques (1)

Goldbeater 

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français L’idée d’utiliser des personnages animés comme monstres dans un slasher-comédie ne m’attirait déjà pas, mais il était donc d’autant plus décevant de n’y voir qu’un seul personnage animé – et encore, visible pendant peu de temps. Pour cause de manque de budget, on n’a donc pas droit à un Space Jam d’horreur, mais Evil Toons est un navet malgré tout divertissant sur une équipe de femmes de ménage qui doivent se confronter au Necronomicon de la série Evil Dead (ignoble copie !). Le jeu des actrices principales ne peut pas être raisonnablement qualifié de tel et tient plus de la série P que de la série B (car oui, elles viennent du porno). Le rôle secondaire du roi de la série B Dick Miller est bien fun, surtout dans la scène assez longue où il passe la moitié du temps à se regarder lui-même à la télé en se plaignant qu’il n’a pas reçu d’oscar pour Un Baquet de sang. Moi, je crois qu’il l’a en fait reçu dans un univers parallèle. Quant à David Carradine, il n’est présent à peu près que pour nous expliquer, par un monologue dans les minutes finales, ce qui s’est vraiment passé. À part ça, son personnage n’a aucun bien-fondé. Mais chercher un quelconque bien-fondé dans cette œuvre-ci, ce serait trop demander à Fred Olen Ray ! ()