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Chimiste de génie, Elmo McElroy vient de mettre au point une drogue révolutionnaire, le POS 51. Il décide de la commercialiser au plus offrant sans passer par son dealer habituel, le très puissant Lézard. C'est ainsi qu'il s'envole vers Liverpool, en Angleterre, où il s'associe avec Felix DeSouza, petite frappe qui règne sur le marché local des stupéfiants... Mais McElroy ignore que le Lézard et la très dangereuse Dakota sont sur ses traces. Trop d'enjeux, trop d'argent, trop de déjantés prêts à tout dans une ville trop petite. McElroy va avoir beaucoup de mal à rester cool... (Metropolitan FilmExport)

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Critiques (4)

POMO 

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français Ronny Yu ne sait pas travailler avec perspective et cynisme, ce qui était nécessaire ici. La scène où Samuel L. Jackson jette des pilules aux danseurs de la discothèque est complètement ratée. Les personnages sont des voyous paresseux et ne sont pas du tout cool. Et le réalisateur veut que nous nous identifions à eux. Il y a beaucoup de blagues, mais la plupart d'entre elles ne sont pas bien placées. Les transmettre simplement par la bouche de l'acteur ne suffit pas. Le film a de la dynamique, mais sans humour et sympathie pour les personnages, il ne devient qu'un accélérateur d'ennui. ()

Isherwood 

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anglais The inevitable conflict that arises from the mutual confrontation of an American and a Brit is a perfect basis for the film's main theme. The script, as in similar films, is not the most important thing. All responsibility is placed on the shoulders of the director and the actors. Unlike the cumbersome crossover Freddy vs. Jason, director Ronny Yu took a much more relaxed approach to the film. Jokes on the theme mentioned at the beginning abound. Only a few of those moments, which Yu crowned with a punchline, were many times more entertaining than the entire previous content. Unfortunately, this brings the film down to an average level, despite the likable plot and great performances from the actors (Samuel L. Jackson, along with his naked backside, is defeated by Robert Carlyle's non-stop barrage of insults). However, the mental emptiness and the waste of the potential of the story will rather frustrate than sadden. ()

3DD!3 

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anglais Take Pulp Fiction and Snatch, shake, not stir, and pour into a Liverpool glass and this is the outcome. It’s nothing special, but, as entertainment, it’s enough. SLJ is super, and RC no less than divine. The trouble with the fucking Yanks is, they have no fucking sense. ()

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