Les Chambres rouges

  • Canada Les Chambres rouges (plus)
Bande-annonce

Résumés(1)

Deux jeunes femmes se réveillent chaque matin aux portes du palais de justice de Montréal pour pouvoir assister au procès hypermédiatisé d’un tueur en série qui les obsède, et qui a filmé la mise à mort de ses victimes. Cette obsession maladive les conduira à tenter par tous les moyens de mettre la main sur l’ultime pièce du puzzle, qui pourrait permettre de définitivement confondre celui que l’on surnomme le Démon de Rosemont : la vidéo manquante de l’un de ses meurtres. (ESC Distribution)

(plus)

Vidéo (1)

Bande-annonce

Critiques (5)

Filmmaniak 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Une tentative de thriller artistique séduisant pour le public mais qui se termine par une étude psychologiquement contestable sur l'attraction du mal et sur une panoplie d'autres sujets qui, sans cohérence formelle, fait penser aux tabloïds sulfureux. Les thèmes évoqués sont abordés de manière très plate. Si l'un des thèmes était censé être la critique des tribunaux de justice tendancieux et émotionnellement manipulateurs, il n'était pas judicieux de le traiter à travers l'optique de l'héroïne principale, asociale, avec une motivation étrange, et fascinée par la déviance. ()

POMO 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Red Rooms examine le monde sinistre de la diffusion de snuff movies sur le dark web et le procès du meurtrier de trois jeunes filles qui a filmé son macabre « travail ». Mais le film ne développe correctement aucune de ces intrigues et passe la plupart de son temps sur une amitié éphémère entre deux filles étranges qui, à cause de leur fascination pour le tueur, assistent au procès en tant que spectatrices. Je ne comprends pas la réaction enthousiaste qu’a suscitée le film. Il est certes tourné avec précision et bien interprété, mais sur le plan du contenu, il passe complètement à côté d’un sujet fort. [Festival du film de Sitges] ()

Annonces

Goldbeater 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Qu'est-ce qui fascine les gens chez les tueurs en série ? Et cette exploration intime du mal engendre-t-elle aussi le mal ? Nous obtiendrons (mais pas nécessairement) des réponses à ces questions à travers deux protagonistes féminines dont la psychologie oscille entre une naïveté puérile et un côté énigmatique et ambigu flirtant avec le diabolique. Ce thriller hypnotique et visuellement enivrant sur la fascination pour la brutalité humaine est un spectacle de genre fort, dont peu parviennent à la section compétitive du festival de Karlovy Vary. Plusieurs scènes (notamment celle avec le cosplay dans la salle d'audience) étaient construites si brillamment que je ne me ferais pas prier pour revoir ça sous peu ! [KVIFF 2023] ()

EvilPhoEniX 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais An artsy court thriller from Canada! The trial begins for Ludovic Chevalier, who has been convicted of the murders of three young girls, which the sales of snuff videos on the Dark Web, definitely an interesting court case. We watch the film from the point of view of a model-juror who becomes obsessed with the case and starts to be a pretty decent psycho. The courtroom verbal barrages are fine and definitely go a long way to fixing the taste for the awful Anatomy of a Fall, though I wish there was more of the trial. At times the film focuses on stuff that isn't entirely appealing. I loved the conversation of the Dark Web expert, and the ending is captivating with an intense and thrilling poker game with Bitcoins that is one of the highlights of the entire film. It's a shame the snuff scenes are out of focus, but I can see how it wouldn't pass. It probably could have been made darker and more intense, but I'm still happy with this understated thriller, it's definitely worth a watch, but it's not a genre-defining film. 7/10. ()

Marigold 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Random notes about the dark net, groupies and serial killers mixed haphazardly with the superficial motif of “outwardly beautiful but inwardly monstrous model living in a clinically clean apartment with AI that tells jokes”. The film, which confuses outward effects with profound psychology, unintentionally gives a nod of approval to tabloid fascination with violence and insight into the pathological world with the eclectic alternation of themes, about which it says nothing at all. An empty gesture, horror vacui. ()

Photos (17)