Les Feuilles mortes

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Master filmmaker Aki Kaurismäki returns with his latest deadpan gem Fallen Leaves, a luminous ode to romance and moviegoing. In modern-day Helsinki, two lonely souls in search of love meet by chance in a local karaoke bar. However, the pair’s path to happiness is beset by numerous obstacles - from lost numbers to mistaken addresses, alcoholism, and a charming stray dog. (MUBI)

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Bande-annonce 3

Critiques (4)

POMO 

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français Une vision fraîche et comique de la Finlande, par un auteur classique qui n’a toujours pas perdu une once de son talent narratif. L’ère du féminisme lui fournit au contraire une nouvelle histoire bien à propos sur les « gros durs » finlandais. Des dialogues absurdes avec un humour pince-sans-rire au rythme soutenu, un style rétro traditionnel (intérieurs, costumes) doublé de reportages radiophoniques sur la guerre en cours en Ukraine, et des affiches de cinéma, parce que Kaurismäki aime le cinéma. Un magnifique clin d’œil cinématographique au « cousin » Jarmusch. La durée réduite des Feuilles mortes est une véritable révélation au milieu des films actuels et confirme à quel point Kaurismäki reste fidèle à lui-même. [Festival du film de Karlovy Vary] ()

Goldbeater 

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français « Je bois beaucoup parce que je suis déprimé… et je suis déprimé parce que je bois beaucoup. » Aki Kaurismäki, dans le cadre de ce long métrage rafraîchissant, se penche sur les soucis et les joies des marginaux finlandais, pour qui, malgré la misère et la souffrance endurées, il suffit paradoxalement de peu pour être heureux. Un film discret, doux, chaleureux, drôle et qui rend hommage à l'amour du cinéma – la première projection idéale pour le festival de Karlovy Vary de cette année. Un petit film au grand cœur. [KVIFF 2023] ()

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Filmmaniak 

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français Une romance magiquement minimaliste entre un travailleur mélancolique et avide d'alcool et une timide vendeuse introvertie. Une tragi-comédie sombre du vieux monde sur la douloureuse convergence de deux âmes désespérées, qui se distingue par sa forme de mise en scène parfaite, la stylisation idiosyncratique indubitable de Kaurismäki, un humour caustique sous un visage sérieux et des personnages singuliers. La dimension sociale n'est pas absente non plus, une intégration discrète des événements actuels (sous forme de radios rapportant la guerre en Ukraine insérées dans les rétro décors nostalgiques d'Helsinki), une musique qui s'accorde parfaitement et de charmantes références cinéphiles à l'œuvre des réalisateurs modèles de Kaurismäki et à ses amis du monde du cinéma indépendant et artistique. Et tout cela en seulement quatre-vingts minutes. ()

Marigold 

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anglais Few filmmakers believe so much in the good of humanity and the power of film to make the world a better place. Few alcoholics have such consistency and detached humor. There is only one king of deadpan. Aki again occupies his unique position as a sentimental bastard and serves up the beautiful best of his tried-and-true moments. Around the fifth minute, I burst into tears of emotion and I never lost the feeling of being at home, in a place where the world can be tolerated despite its cruelty. I don’t know about you, by Fallen Leaves somewhat reminded me of Diary of a Country Priest, or maybe Godard. I’m going to go have my sixth second beer. Kiitos, Aki! ()

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