La Tarentule au ventre noir

Un giallo correct, mais qui ne se démarque pas. Désormais, ils me semblent tous assez similaires. Du moins, ceux qui sont traditionnellement conçus. Un tueur mystérieux dont on ne voit toujours que les gants et une arme blanche ainsi qu'un manteau vu de dos avec une casquette/un chapeau, un meurtre sanglant, une enquête, encore des gants et un meurtre, une autre enquête, une menace progressive pour le détective et sa bien-aimée, le point culminant étant la tentative de les sauver et de dévoiler le meurtrier à la dernière minute. À chaque fois, une atmosphère similaire et les étranges caractéristiques déconcertantes du meurtrier. Seul le visuel parfois se démarque, étant plus raffiné, comme chez Argento par exemple. De plus, dans cette œuvre, il y a davantage de nudité et de belles femmes. Surtout au début. La scène d'ouverture avec un massage sur fond de musique sensuelle de Morricone est son meilleur moment. (08/06/2020)

Un giallo dont le seul pouvoir d’attraction réside dans son affiche à la tarentule. C’est un spectacle stérile à en mourir. Et je préfèrerais ne pas devoir dire ça, mais cette fois-ci, même Ennio Morricone m’a laissé de marbre. (29/05/2018)

Overall, I must label the film "La tarantola dal ventre nero" as a very well-made giallo. It is not that explicit in terms of violence or nudity, but it is cleverly directed and the creators maintain tension throughout. Additionally, the excellent music by Ennio Morricone adds to the experience. It is a slightly overlooked but definitely successful film that could easily serve as a definition of giallo. It's just a shame that the pace slows down a bit towards the end and the atmosphere is not as strong. (08/02/2014)