Hundreds of Beavers

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In this 19th century, slapstick winter epic, a drunken applejack salesman must go from zero to hero and become North America's greatest fur trapper by defeating hundreds of beavers. (Atlanta Film Festival)

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Critiques (7)

Goldbeater 

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français Hundreds of Beavers est un film à petit budget situé dans le Wisconsin enneigé du 19ème siècle, qui combine l'aspect visuel des films muets classiques avec la dynamique des films d'animation grotesques de Warner tout en empruntant un peu de l'esthétique des jeux vidéo. Mélangez ensuite tous ces styles pour obtenir, dans un développement délicieusement graduel, une tempête d'idées hilarantes au possible et de situations étranges. C'est une véritable masterclass sur la construction d'un scénario et surtout son élaboration, la répétition et l'expansion autour de gags ponctuels, lesquels regorgent d'une inventivité qu'on n'avait pas vue depuis belle lurette. Ça faisait une éternité que je n'avais pas été plié de la sorte en allant au cinéma ! Quant aux deux créateurs centraux, ils font un bond de sept lieues par rapport à leur opus précédent Lake Michigan Monster et encore une fois, voici la preuve qu'avec un budget limité, on peut faire quelque chose qui claque, pour peu qu'on ait de solides idées en tête. Et certaines des idées ici ont le potentiel de devenir cultes et de transformer instantanément ce petit film en une comédie classique ! [Sitges 2023] ()

Filmmaniak 

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français Un geyser inédit de créativité dans la meilleure comédie de ces dernières années et en même temps une mise à jour surprenante du grotesque du 21e siècle. Buster Keaton et Harold Lloyd serrent ici la main de Bugs Bunny et du coyote Vil Coyote, et c'est Karel Zeman qui les dirige, venant de découvrir les possibilités de la création graphique par ordinateur. La confirmation définitive de l'idée qu'un petit budget n'est pas un obstacle lorsque l'on a suffisamment d'idées et de capacités créatives. Dans le cas de Hundreds of Beavers, les créateurs regorgent d'idées, ils en ont jeté tellement dans le film qu'ils en ont largement épuisé toute la durée, et ils ont transformé les ressources limitées pour la réalisation du film en un avantage, de sorte que le résultat est à la fois incroyablement drôle, créatif et charmant sur le plan visuel. L'intrigue ne s'arrête pas un instant, les différents gags évoluent progressivement et atteignent des niveaux imprévisibles, le film travaille magnifiquement avec les personnages et les motifs récurrents et exploite pleinement l'environnement de la forêt enneigée ainsi que les accessoires associés. Une affaire unique et sûrement aussi un futur classique culte. ()

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Matty 

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anglais Hundreds of Beavers brings to mind a hyperactive kid whose foster parents were Guy Maddin, Buster Keaton and Tex Avery, but no such analogy can capture the originality and franticness of this incredible whirlwind of wacky gags, game-like mechanisms (which at times include frustrating repetition and variation) and DIY aesthetics. Every shot is a joke. Mostly hits, with occasional misses. It’s not perfect, just like the Monty Python movies aren’t perfect, but that’s also why it may just be considered a cult classic someday. 90% ()

MrHlad 

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anglais Jean Kayak is stranded in the North American wilderness and must learn to fend for himself. And even though he'll eventually turn into a courageous outdoorsman, hunting hundreds of beavers to buy his beloved a ring won't be easy. This frantic black-and-white slapstick combines the classic silent films of Charlie Chaplin and other legends with the poetics of Looney Tunes cartoons, the visual style of Karel Zeman, and the intense action of Wallace and Gromit. You've probably never seen anything like Hundreds of Beavers, and you definitely should. ()

J*A*S*M 

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anglais I feel like a bit of an oddball for rating an obviously authentically loved by all bizarre film as low as I do, but I just don't see it there. And I've given it a chance twice! First time a couple of weeks ago, I gave up after 15 minutes, thinking it must have hit me in a bad mood. Today, the second time, I made it to the end, but no. I didn't laugh once, and I'm not even sure what I was supposed to laugh at. When you get the Teletubbies stoned and dress them in black and white, you get stoned black and white Teletubbies. They're still Teletubbies, not an independent film masterpiece. ()

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