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Detective Yohan Vives (Bastien Bouillon) has only just taken over as head of the detective bureau of the local police department when he is assigned to the chilling murder of a young woman in her quiet mountain village. But what starts as a meticulous investigation into the victim's life soon turns into a haunting obsession for Yohan and his team as the killer remains at large. (Picturehouse Entertainment)

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Critiques (3)

Goldbeater 

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français La Nuit du 12 est en quelque sorte un anti-polar. Dès le générique de début, il est clairement spécifié que le film traite d'un cas non résolu. Malgré ce fait, on se prend au jeu de la procédure d'un film policier classique pendant près de deux heures, comme s’il fallait s’attendre à une élucidation à la fin, tant la construction de l'intrigue s’y prête. Le film flanche juste un peu dans les scènes où il tente littéralement de pointer du doigt la culpabilité collective (et attention, l'affirmation suivante pourrait être un spoiler), car si la victime n'a pas été tuée par un individu spécifique, alors c’est que tout le monde l'a tuée. La symbolique est belle, mais scénaristiquement parlant, c'est un peu trop criard et ça manque de cohérence. À part ça, c’est tout bon ! ()

AguasVivas 

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français Voici donc un film très politique, un de plus qui met en lumière de façon tragique la toxicité masculine. Celle qui transpire dans la plupart des jeunes hommes soupçonnés du meurtre de Clara, mais aussi celle, teintée de traits d'humour voire de ridicule, qui constitue le quotidien des policiers de la Police Judiciaire dont le film suit les recherches pour trouver l'auteur du crime. Dominik Moll est en pleine possession de ses moyens artistiques dans ce film, servi par une photographie (Patrick Ghiringheli) particulièrement inspirée et réussie. Et, la fin du film participe de cette réussite, nous renvoyant subtilement - sans vouloir en dévoiler l'issue - à ce très beau plan de nuit, durant la planque de la police aux abords du lieu où le corps de la victime a été retrouvé, à l'occasion du 3ème anniversaire du meurtre, durant laquelle, pour seule visite, il y aura celle des parents de la victime, filmée dans leur inconsolable chagrin, à travers la vitre du véhicule de police, bordée par le reflet des visages tendus de Yohan, chargé à nouveau de l'enquête, et sa collaboratrice. Un message sous-tend ce film: toute personne affectée par la machine judiciaire, aussi noble que soit son objectif d'établir la vérité (judiciaire), est susceptible d'en subir des conséquences, sous de multiples formes, que rien ne pourra réparer. Sinon un acte de bienveillance envers soi, et/ou envers les autres. ()

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Marigold 

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anglais A deliberately apathetic crime story about tired justice and one case that becomes a nightmare for the lone commissioner protagonist. It’s a highly relevant depiction of violence against women and institutional victim blaming, but above all a beautifully depressing procedural about hope and futility. After Only the Animals, Moll is great once more. ()

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