X

Bande-annonce 1

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Fin des années 70, une équipe de tournage investit une maison isolée du fin fond du Texas pour y réaliser un film X. À la tombée de la nuit, les propriétaires des lieux surprennent les cinéastes amateurs en plein acte. Le tournage vire brutalement au cauchemar. (KinoVista)

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Bande-annonce 1

Critiques (10)

Goldbeater 

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français D’après mon expérience, X est le genre de films qui cochent toutes les cases escomptées, mais qui, en fin de compte, manquent de nous impressionner. Parce que oui, le sujet est excellent, la réalisation et les visuels sont subtils, le jeu des acteurs est impeccable, il y a des passages qui décoiffent, mais pour moi, le tout s'est déroulé de façon tellement prévisible, sans éléments passionnants ni surprenants, qu'il ne m’a rien procuré d’autre que l'appréciation d'un film proprement exécuté. Dommage pour un film dont j’attendais autre chose. ()

POMO 

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français L'exploitation la plus inventive des années 70 par un jeune créateur contemporain. Ti West sait ce qu'il fait, il joue avec le spectateur et les conventions du genre, mélangeant un peu de soft porn avec une pointe de slasher hard, tout en n'oubliant pas d'être un peu pervers. Mais surtout, il matérialise au mieux la prémisse classique du slasher depuis des décennies « les adolescents qui font l'amour doivent mourir ». Avec X, vous n'aurez pas peur, mais vous apprécierez d'autant plus les histoires des visiteurs malheureux de la ferme maléfique si vous êtes familier avec le genre et si vous aimez le nouveau souffle qu'il apporte. Et les seins nus. ()

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claudel 

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français Jenny Ortega se trouve partout où l’on regarde – sur Netflix et sur HBO. Mais ici, c'est plutôt Mia Goth et son visage particulier qui se démarquent. Quant à Brittany Snow, elle s’est rappelée à ma mémoire après une quinzaine d’années. J'ai beaucoup aimé la première moitié du film – pourquoi les créateurs de films d'horreur sont-ils si friands du Texas ?! :-) La seconde moitié m’a légèrement fait glisser vers le dégoût, mais le tout mérite quand même trois étoiles. L'alligator est excellent ; la meilleure scène est celle de la baignade… ()

Lima 

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anglais An attempt at ambitious horror that doesn’t quite work. For the first hour or so, up until the first murder, it's a great directorial ride with an imaginative composition of shots, a witty timing of scenes (the crocodile from a bird's eye view!) and a top notch casting, all original characters and I loved it all; that long wait for the peak was a five-star job. But then, as the spiral of violence begins, the story winds clichédly along predictable paths, the murders are anything but interesting, though in one West recalls Fulci, and it all culminates in scenes you really don't want to see (gerontophilic sex). It's a film of two halves, and the first one, where it escalates, paradoxically outweighs the second one by a head; sometimes less is more. ()

J*A*S*M 

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anglais I didn’t quite expect to find such an interesting, ambitious and not very often explored theme at the centre of a horror murder mystery from the backstage of the amateur porn industry, one that even made me sympathise with the main villain at several points (well, until she went into full psycho bitch mode, that is). The cinematography is great, West, like in The House of the Devil, convincingly imitates the 1970s, plays with editing and delivers more than one strongly creepy sequence. Unfortunately, the heroes aren't exactly my cup of tea – even though they are portrayed quite effortlessly and easily recognizable from each other – so the first half was more like waiting for the inevitable carnage to finally begin. But after the first stab, things get beautifully brisk and horror-packed until the end. I’m not as thrilled as I thought I’d be, but I’m satisfied. ()

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