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Défi cinéma en situation de confinement – actrices préférées : Leïla Bekhti. Mon défi est terminé aux deux tiers et mes sentiments mitigés ont basculé du côté positif grâce à ma France bien-aimée. Un film très agréable et original. Dès le début, je me demandais pourquoi ça me faisait rire alors que c'était triste. Mais j'ai vite compris qu'il s'agissait d'un film doux-amer, tragicomique, un film qui tente d'alléger certaines choses sérieuses ou de les présenter de manière amusante. À la fin, j'ai appris avec intérêt qu'il s'agissait d'une représentation d'événements réels et non pas juste d'une fiction qui serait inspirée de faits historiques réels. Ainsi, le film offre un mélange de drame social, d'engagement politique et, surtout, on y trouve les valeurs fondamentales que sont l'amour, la famille et l'amitié.

Quand j’y songe, je ne vois aucune différence entre Super Noël et Les chroniques de Noël, même si plus de vingt ans séparent ces deux films. Ils sont tous les deux plus ou moins au même niveau. Personnellement, je préfère Kurt Russel dans le rôle du père Noël que Tim Allen. C’est peut-être notamment parce que, pendant tout le film, il s’oppose au préjugé qui impose au père Noël l’image d’un papi bien en chair, là où Tim Allen se tient plus à cette image traditionnelle.

Encore un film moyen de Netflix taillé pour la période de Noël – ni passionnant ni repoussant –, néanmoins certains passages vous prennent par les sentiments. J'ai l'impression que Kurt Russell a pris beaucoup de plaisir pendant le tournage. Son rôle lui va comme un gant et est l'un des meilleurs de tout le film. Cela dit, il s'avère que le deuxième volet est supérieur parce qu'il y retrouve sa bonne vieille complice Goldie Hawn.

Les visuels magnifiques et l’empreinte des frères Grimm très perceptible dans l’intrigue surpassent tout ce qui est américain dans ce film. Et Raiponce est la plus belle des princesses ; elle me plaît nettement plus qu’Elsa et Anna. Enfin, je ne suis probablement pas objectif, parce que l’année passée, je me suis retrouvé encerclé, contre mon gré, par La Reine des neiges. Un conte bien divertissant.

Voici un exemple éloquent qui montre que le doublage tchèque, pourtant réputé mondialement, peut nuire à l’effet de surprise et au dénouement. Ça m’a extrêmement irrité et ça a influencé mon impression générale et mon évaluation de la première saison. Bien sûr, c’est typiquement nordique, c’est tendu et, comme tout polar nordique qui se respecte, on y trouve un personnage féminin intéressant prénommé Saga. Malgré la déception par rapport à l’effet de surprise, que j’espère ne pas revivre dans la deuxième saison, les deux derniers épisodes étaient touchants.

Ainsi, Zdeněk Troška a rencontré la star de stand-up Lukáš Pavlásek et, ensemble, ils ont tourné un conte dont le rôle principal est joué par la fillette de la série Vyprávěj. Ma fille de trois ans a déjà tenu à le voir trois fois et elle n’arrête pas de s’enthousiasmer à propos du prince bleu. Tant que je n’en ai pas ma claque comme c’est le cas avec Elsa, Anna et Olaf, je suis prêt à le tolérer encore quelques fois. Les paysages sont beaux et on y voit nos manoirs et châteaux, la photographie est magnifique tout comme la musique ; quant aux points négatifs, je n’ai pas envie de m’y attarder. Tant que ça plaît aux enfants, je suis preneur. Puis, Sara Sandeva dans un rôle de méchante fait plaisir à voir, tant aux petits qu'aux grands.

Il y a moyen de traiter ce thème de multiples façons et dans 90 % des cas, ça ne peut que réussir. Malheureusement, les créateurs se trouvent dans la minorité et ont créé un flop. Ce n’est pas totalement catastrophique, surtout en ce qui concerne le début et, étonnamment, la fin, mais la partie centrale n’a rien à offrir.

Défi cinéma en situation de confinement – actrices préférées : Brittany Murphy. Detroit avec ses quartiers noirs et une bonne dose de rap, d’oisiveté et de grisaille. Au milieu de tout ça, un garçon blanc élabore son grand rêve. Eminem surprend par un sans faute aux côtés de grandes pointures du cinéma. Je regrette juste un peu d’avoir choisi un film où Brittany Murphy joue une salope sans personnalité. En tout cas, il y a pas mal de noms célèbres dans ce film. Personnellement, je trouve que le scénario est quelque peu simpliste et que le tout manque de magie. Et si le Detroit d’il y a dix-sept ans était désespéré à ce point, je préfère ne pas savoir où en sont les choses en 2020…

Les Français n’arrêtent pas de nous rappeler qu’ils sont doués dans tous les genres de films. Et dans certains, ils sont juste excellents et imbattables. C’est le cas notamment des polars aux histoires impitoyables. Le bon vieux Jean Reno démontre qu’il en a encore dans le ventre et non seulement il parvient à liquider le truand, mais il arrive par la même occasion à faire tomber sous son charme ses jeunes collègues sexy. J’ai été plutôt ravi du casting. La durée n’est pas excessive et on n’a pas le temps de s’ennuyer.

Dans le magma des comédies romantiques, c’est une bouffée d’air frais, du moins en parlant du thème. Malheureusement, on n’échappe pas, une fois de plus, à la fin à l’américaine, mais le couple central convient et la chimie fonctionne bien entre eux. C’est un conte parfait pour une petite soirée à deux.