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Dans le West Side, bas quartier de New York, les affrontements sont nombreux entre la bande des Sharks, menée par Barnardo et celle des Jets, menée par Riff. Maria, la soeur de Barnardo, connaît parfaitement les règles, mais elle va tomber amoureuse d’un Jets… (MGM/United Artists)

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Bande-annonce 1

Critiques (5)

POMO 

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français Magnifiquement filmé, irrésistiblement panaché – que ce soient les couleurs des chemises et robes ou celles des extérieurs et intérieurs, qui contribuent toujours à insuffler le feeling approprié à chaque scène. Les vêtements suspendus entre les fenêtres tels de victorieux drapeaux, les escaliers de secours métalliques entre les étages, en arrière-plan d’une scène lugubre… chaque détail du tableau contribue à l’arrangement général et est narrativement utile et esthétiquement de bon goût. Pour ne rien gâcher, l'intrigue est une variation simple et facile à comprendre sur le thème de Roméo et Juliette et est interprétée par des acteurs séduisants dont les dialogues recherchés ne pourraient pas même sortir de la plume de Steven Zaillian aujourd'hui. West Side Story me semble être aux comédies musicales ce que La Mort aux trousses est aux films d’agents secrets. Mais que puis-je faire quand, à l’exception du postmoderne Moulin Rouge !, je me sens teeeellement éloigné du genre musical que même la gâterie esthétique qu’est West Side Story n’est parvenue qu’à me faire bâiller d’ennui en attendant la réception qui suivait l’avant-première ? ()

Goldbeater 

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français La première fois que j’ai vu West Side Story, j’ai eu un peu de mal à l’apprécier parce que je me demandais si une adaptation du récit de "Roméo et Juliette" à un environnement moderne suffisait à constituer la base d’une comédie musicale de deux heures et demie. Après avoir revu celle-ci – sur grand écran, cette fois –, mes doutes ont été balayés : West Side Story est finalement du grand art en ce qui concerne la scénographie et l’aspect graphique (couleurs et éclairage). La musique et la chorégraphie sont légendaires. La distribution est précise (il est amusant de regarder le duo Richard Beymer/Russ Tamblyn en comparaison avec leurs rôles dans Twin Peaks) et la réalisation de Robert Wise est exemplaire, ce qui impressionne d'autant plus quand on sait qu’il n’avait jamais filmé de comédie musicale auparavant. Ici, le cœur du récit est plutôt secondaire et, grâce à la drôlerie et à la qualité d’écriture des dialogues, se fait vite oublier. Aujourd’hui, je peux enfin apprécier ce film à cent pour cent ! [Summer Film School 2018] ()

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kaylin 

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anglais As a musical, it is excellent, with great dance numbers and Russ Tamblyn showing off excellent acrobatic tricks that really impressed me. As a variation on Romeo and Juliet, it's quite dull and unnecessarily lengthy, to the point where I felt that an hour could easily be cut. However, some of the songs will still linger in your head long after it's over. ()

novoten 

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anglais Good night, good night. Sleep well and when you dream, dream of me. Indifference against passion, innocence against inflammability. And Sharks against Jets in the intoxicating heat of New York immigrants, where love wants to overcome all bad blood. An ageless classic that even sixty years after its creation continues to touch the heart. ()

D.Moore 

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anglais A few days before the premiere of Spielberg's version, I wanted to remind myself of a film I once enjoyed very much. Unsurprisingly, I enjoyed it again. After all, Leonard Bernstein's music is still just as brilliant, Sondheim's lyrics are still so entertaining and to the point, the choreography of the dance numbers is amazing and well thought out, the commitment of all the actors/singers/dancers is infectious (yes, Tony is still the least interesting, but that's the fate of this breed of heroes) and Wise's direction, though it feels more theatre and studios than actual film, is still very engaging. But I noticed something I had never noticed before. After each number there is a pause in the film, a quieter moment perfect for a well-deserved applause. I wondered if that was intentional. And it was. Reportedly, people in the cinemas routinely rewarded West Side Story with thunderous applause as if they were in a theatre, and I wonder not only if there will be room for applause in Spielberg's version, but more importantly, if there will be clapping as well. I hope so, so that the contemporary viewer, transported back sixty years, can have that kind of fun. We’ll see. ()

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