Réalisation:
Dennis DonnellyPhotographie:
Gary GraverMusique:
George DeatonActeurs·trices:
Cameron Mitchell, Pamelyn Ferdin, Wesley Eure, Nicolas Beauvy, Aneta Corsaut, Kathleen O'Malley, George Deaton, John Hawker, Dennis Donnelly (plus)Résumés(1)
Un homme masqué sème la terreur en tuant des jeunes filles avec en guise d'armes le contenu d'une boite à outils. Un jour, il décide de séquestrer une de ses victimes plutôt que de la tuer. Le frère de la jeune fille kidnappée mène alors son enquête... (texte officiel du distributeur)
Critiques (3)
Un petit film d'horreur plutôt original. Il commence comme un massacre sanglant sans âme avec des outils de mort sophistiqués (perceuse, tournevis, cloueuse), utilisés sur de belles jeunes filles, et se poursuit comme une ode psychologiquement tendue sur les questions éthiques chrétiennes par rapport au sexe. Cependant, le sang continue de couler ici et le sentiment de dégoût s'approfondit chaque minute. Un "video-nasty" légèrement dérangé qui vise un objectif similaire à celui que le film plus intentionnellement trash, "I Spit on Your Grave", a tenté sans succès d'atteindre. ()
The Toolbox Murders est un slasher bien ficelé et légèrement préfabriqué dans lequel un meurtrier revêt l’apparence d’un skieur pour assouvir ses pulsions morbides dans un complexe d’appartements en utilisant des outils variés (et qui est nettement plus divertissant que Driller Killer sorti un an après). Ça se traîne un peu par moments, mais ça reste malgré tout l’un des films d’horreur les plus réussis sur la liste des « video nasties ». ()
Drilling, hammering, screwing, moistening, and nailing to romantic music… In the first twenty minutes, there’s a fair bit of blood, but then it starts to deviate from genre norms. The unconventional aspect is the amateur-led investigation, the repetition of delusions, and the pretense of psychological drama through a lot of rambling. One might even start to think that the killer in the mask went off to ski in Aspen. I believe the driving force behind the handyman uncle wasn’t a desire to combat sin, but his own toolkit in his underwear. ()