Pink Flamingos

  • États-Unis Pink Flamingos
Bande-annonce

Résumés(1)

Baltimore, 1970. Divine, personnage haut en couleur et célèbre criminelle sous le nom de Babs Johnson, mène une vie paisible avec sa famille. Après avoir été nommée « l’être vivant le plus dégoûtant de la planète », elle attire les convoitises du couple Marble, trafiquants d’enfants et d’héroïne prêt à tout pour s’emparer du titre. (LaCinetek)

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Critiques (6)

POMO 

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français Est-il possible que ce film, qui paraît si bon marché, mal joué et surtout décadent et pervers, soit divertissant, voire irrésistiblement MIGNON ? C'est précisément pour cela, ainsi que pour son ouverture, son honnêteté et son caractère inimitable, qu'il est devenu culte. ()

Matty

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anglais I am not able to rate this film, but I basically don’t have a problem with the statement of a man who summed it up after a midnight screening with the sentence, “Definitely better than Cries and Whispers.” ()

J*A*S*M 

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anglais A film where I could write a defence for every rating because I can agree with all of them. Pink Flamingos is unique  and very bad in every technical aspect and some scenes almost made me sick, but I still don’t regret watching it. It’s not tense, it’s not comedy, it’s not satire, it’s just very weird and crazy filth that in some aspects beats every other type of cinematography. I presume that anyone who could be interested in this film has already heard about it (or even watched it), so I really wouldn’t recommend it to the random readers of this review. ()

lamps 

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anglais OK, I've seen a lot, but this is really indescribable in mere words. Everything is awful by the most part, from the overacting to the topsy-turvy direction, BUT once the gourmet soundtrack kicks in, seeing Tarantino in it, I understood that this was the most "salacious" source of inspiration for the video store madman, and that it was, in its own very perverse way, a cult-classic beyond its time. And for that, Pink Flamingos deserve a small tribute, as well as for the final, wonderfully satirical execution in the presence of the amoral media; that’s something you don’t see every day. ()

Goldbeater 

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français Je ne peux pas juger si, comme le déclare ce spectateur dans l’un des entretiens à la fin, ce film est réellement meilleur que Cris et Chuchotements. Par contre, je peux vous assurer que visionner ces deux « œuvres d’art originales » m’a fait souffrir autant d’un côté que de l’autre. Le rapport entre les scènes dont je veux me souvenir (avec des répliques hilarantes du genre « Il y a deux types de gens, Mlle Sandstone… ») et celles que je préfèrerais oublier est assez disproportionné. Je n’ai rien contre les obscénités, auxquelles on s’habitue dès les premières minutes tant elles font partie du paysage, mais c’est plutôt que l’ensemble était beaucoup moins fun que ce que j’avais imaginé initialement. L’intrigue est vraiment insipide et certaines scènes sont trop vides et longues que pour divertir. Je ne pense pas être un futur fan des débuts de John Waters. ()

kaylin 

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anglais I will probably never love this film, but John Waters simply made something that is simply unforgettable. Here are scenes that will surprise you, derail you, and show you that anything is possible. And yes, some part of you can really love it and enjoy it. Waters is a weirdo, but this film is simply an experience. ()