Spectre

  • États-Unis The Boogey Man (plus)
Bande-annonce 2

Résumés(1)

When Willy was a boy, he killed his mother's abusive boyfriend by stabbing him in the back, and his sister Lacey saw the murder reflected in a mirror. Now adults, Willy and Lacey find the mirror. The mirror breaks, and soon after, Willy and Lacey realize to their horror that wherever a shard of it turns up, a gruesome murder takes place. (texte officiel du distributeur)

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Bande-annonce 2

Critiques (2)

POMO 

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français Ulli Lommel est un excentrique, il aime le mystère et a des idées folles. Et cela est une combinaison parfaite dans le genre horrifique. Son film The Boogeyman est un horreur mystérieux, lent et atmosphérique, qui s'inspire du sujet de Carpenter dans Halloween et le mêle à la psychédélique de Dario Argento. Le réalisateur semble lire entre les lignes, montrant souvent ce qui n'est pas montré ailleurs, et omettant les clichés qui freineraient réellement l'intrigue. Un film bizarre où vous ne serez ni effrayé ni ennuyé, mais soit fasciné avec la bouche ouverte, soit complètement ennuyé à mourir. Un film peu coûteux mais extrêmement remarquable en termes de réalisation, de scénario, d'image et de musique. Avec ces paramètres, il ressemble un peu à Phantasm de Don Coscarelli. Mes 4 étoiles sont un peu mon plaisir coupable. ()

Goldbeater 

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français Voici un cas très particulier de film d’horreur pour lequel l’imagination de créateurs inventifs s'est heurtée de plein fouet à l’incompétence du réalisateur et des scénaristes. Dans Spectre, Ulli Lommel combine des tas d’idées intéressantes et de gâteries visuelles (notamment avec le final à couper le souffle dans lequel le jeu des fragments de miroir est exemplaire), mais il assemble le tout d’une manière tellement douteuse et fortuite que j’en retire une impression de confusion et de disparité et en reste perplexe. Je pourrais l’évaluer comme un navet qui bénéficie de visions très appréciables, mais qui enfreint par moments les règles qu’il a lui-même établies tout offrant des passages à couper le souffle. Enfin, quoi qu'il en soit, la musique électronique expressive de Tim Krog relève à elle seule considérablement le niveau ! ()

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