Lamb

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Bande-annonce 2

Résumés(1)

María et Ingvar vivent reclus avec leur troupeau de moutons dans une ferme en Islande. Lorsqu’ils découvrent un mystérieux nouveau-né, ils décident de le garder et de l'élever comme leur enfant. Cette nouvelle perspective apporte beaucoup de bonheur au couple, mais la nature leur réserve une dernière surprise… (The Jokers)

Critiques (6)

POMO 

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français Un soi-disant « art » prétentieux et transparent et sur le plan narratif sans émotion, composé de motifs et de moments familiers d'autres festivals. L'innovation est minimale. Le film se repose d’autant plus sur l'ambiance des paysages du nord de l'Islande et sur la performance de Noomi Rapace. ()

JFL 

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anglais What Carax’s Annette is to musicals, Ada is to Icelandic festival films – with everything good, bad, emotional, bizarre, idiosyncratic and conceptual. It thus makes that much more sense to see the film at a festival in a packed screening room and watch the audience’s reaction as they wrestle with the film, ride the wave of tension in the first third, then burst into relieved laughter, through which they paradoxically accede to the rules of this absolutely serious film. ()

D.Moore 

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anglais The weirdest film I’ve seen lately. Yet so impressive! If I were to sum up the plot of Lamb in one sentence, it might make you facepalm, but the Icelandic atmosphere, the way the story is told and the way we gradually discover what is actually happening… The film has plenty of time to tell its story, and everything is so gradual that it ends up sounding completely natural and normal. If you liked The Witch, you’ll enjoy this one. ()

Goldbeater 

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français Un mélange multigenre très difficile à saisir et à décrire dans lequel on retrouve à la fois de l’intensité dramatique entre les personnages, des éléments « folklorico-fantastiques », de l’humour absurde, des bizarreries vraiment bizarres et une ambiance sinistre omniprésente pour le côté horrifique. Je recommande chaudement d’en apprendre le moins possible à l’avance (idéalement, rien) afin de profiter au mieux des retournements de situation surprenants et des passages « WTF » que le film a à offrir. À condition de ne pas vous laisser refroidir par le démarrage tout en douceur, le final a de quoi vous faire vivre un moment relativement unique et changer à tout jamais votre façon de percevoir les moutons. Un spectacle pour le moins intéressant. [KVIFF 2021] ()

Filmmaniak 

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français Noomi Rapace donne naissance à des agneaux à mains nues dans cette histoire folklorique islandaise, qui charme par des compositions picturales magistrales d'animaux, mais tombe par ailleurs dans la catégorie de pure bizarrerie de festival, qui semble n'exister que pour déstabiliser le public et perturber ses attentes. Le thème d'un éveil soudain de sentiments maternels envers une créature obscure dans une ferme au milieu de vastes plaines désertiques est traité à la limite de la mignonnerie et de la perversité. L'idée en elle-même divertit, mais une curiosité scandinave similaire comme Border se classe dans une toute autre catégorie grâce à son travail sur l'histoire, les motifs pluridimensionnels et le message global. ()

Othello 

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anglais Three reasons I had a royally good time, albeit obviously in spite of the movie. And I swear I had them in my head before Béla Tarr's name popped out at me in the closing credits. 1) The first third looks like a parody of The Turin Horse. The very first dialogue, which comes after more than half an hour: "This is a better year." "Why do you think that is?" "The tractor sounds different."  2) The rest of the film looks like a parody of Paddington 3) All this charmingly literal bizarreness is shot in really beautiful imagery. Although you could cynically remark that it is perhaps not technically possible to visually mess up a film set in a sub-highland Icelandic sheepfold. If I learn somewhere that the film is indeed a comedy, as is clearly suggested by the moment when the brother of one of the protagonists sort of bites the bullet out of politeness at their bringing an underage weresheep to the lunch table, but it still bothers him the next scene, I'll go for five. ()