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Maestro est une ode à la vie et à l'art, mais aussi à la famille et à l'amour, qui dresse un portrait profondément émouvant de la grande, longue et endurante relation amoureuse entre l'icône culturelle Leonard Bernstein et Felicia Montealegre Cohn Bernstein. (Netflix)

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Critiques (4)

Ivi06 

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français Le plus gros problème avec Maestro, c’est qu’il a tous les ingrédients d’un succès : on peut y voir une réalisation précise et solide, des performances formidables et dignes d’être récompensées, mais le film manque totalement d’âme… Pour moi, cela signifie que je n’arrive pas à m’attacher aux personnages et qu’il n’y a pas d’implication émotionnelle… On finit de voir le film et on peut passer directement au suivant, ce qui, selon moi, n’est pas la marque d’un bon film. Je comprends donc tout à fait la faible note qui lui est attribuée. Moi-même, je ne peux pas lui donner plus de 3 étoiles, et la troisième est pour la performance de Bradley Cooper. ()

POMO 

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français Bien qu’il soit magnifiquement filmé sur le plan formel et interprété par un Bradley Cooper investi dans son rôle, ce biopic est sans vie. C’est comme s’il n’y avait pas eu dans la vie de Leonard Bernstein de motifs suffisants pour raconter une histoire cinématographique dramatique et émotionnelle. Pourtant, le film lui-même montre que de tels motifs existaient bel et bien. Il fallait simplement les traiter différemment, en construisant le scénario sur une autre base que celle de l’homosexualité de Bernstein par rapport à son mariage. Les aspects de la complexité de sa relation avec sa femme ne sont pas non plus tangibles ici. Sans les quelques dialogues du film, on ne les comprendrait pas du tout, car on n’a ni le temps ni le moyen de les ressentir. Produit à la fois par Scorsese et Spielberg ? Sérieusement ? ()

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claudel 

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français Chaque réalisateur a le droit de décider comment il aborde une biographie. Mais je trouve que Bradley Cooper a opté pour une interprétation totalement inappropriée, sous forme de fragments de la vie du célèbre chef d'orchestre sans cohérence, l'enchaînement des éléments n'étant pas fluide et l'ensemble paraissant creux en conséquence. En fait, le spectateur non averti ne retirera rien du film, à part peut-être que Leonard Bernstein a lutté toute sa vie avec sa sexualité – sauf qu 'il n'obtiendra pas de réponse quant à savoir s'il a réussi ou échoué dans cette lutte. Les performances d'acteur sont très bonnes, mais je crains que Carey Mulligan ne se trouve enfermée dans une case où elle maîtrise toujours à la perfection et aspire toujours à l'Oscar, sans toutefois le matérialiser car la concurrence a toujours une longueur d'avance. Le film Saltburn ou disons plutôt sa réalisatrice pourrait l'aider à sortir de ces cases. Bradley a un répertoire plus varié, mais au final, il en est de même que pour Carey ; avec Maestro, peut-être ressent-on un peu trop à quel point ils désirent cet Oscar. ()

Lima 

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anglais "I want an Oscar! .... I want my fucking Oscar!" Yes, the cinematography is great, the music is magical (but that's not Bradley Cooper's doing), the aging make-up effects are fantastic. But what good is that when at times I felt like I was at a show where the lead actor is trying so hard he doesn't even realize that the one that was supposed to be second best is overwhelmingly outplaying him. Yes, Carey Mulligan gave Bradley's big boxer of an actor a K.O. after a few minutes, because she, unlike him, came across as authentic, natural and didn't need any great prosthetics to do it. And I tried in vain the whole time to determine what it was actually supposed to be about. For it to be about a genius in the arms of the muses who was also a bit of a dick, it's too vague and indistinct, with characters just shuffling around, coming and going and nothing coming of it. And if it was supposed to be about the magical power of music, then maybe only in the cathedral scene, otherwise the reassurance of why Bernstein was such a great composer didn't really rub off on me the whole time. But maybe that's how Cooper intended it, according to the opening credits, that "a work of art doesn't answer questions: it provokes them", and I'm just wronging him on that. But sorry Bradley, sometimes I'm entitled to a bit of superficial viewer expectation... ()

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