Résumés(1)

C'est sur une route, la nuit, que Robert (Alain Duclos) voit pour la première fois Elisabeth (Brigitte Lahaie). La jeune fille, errant à demi nue semble avoir perdu la mémoire. Robert la prend à bord de son automobile et l'emmène chez lui où ils font l'amour. Dès que Robert quitte l'appartement, un couple pénètre chez lui et enlève Elisabeth. On retrouve la jeune fille dans une tour du quartier de la Défense à Paris. Elle y est enfermée avec d'autres "malades" sur lesquels règne le docteur Francis. Crimes sexuels et assassinat y sont perpétrés quotidiennement malgré la surveillance du médecin. Elisabeth va tenter d'échapper à cet enfer en entrainant dans son aventure son amie Véronique. Mais des gardiens armés controlent la sortie. Elisabeth a cependat le temps de téléphoner à Robert avant d'etre reprise. Robert qui s'est armé, se précipite vers la tour et y pénètre. Trop tard : il apprend du docteur Francis lui-meme que la tour a été évacuée mais aussi les motifs de cette incarcération. Les "malades" sont des gens qui ont été frappés par les rayons gamma échappés pendant quelques secondes d'une centrale nucléaire. Les cellules de leurs cerveaux se détériorent et meurent. Elisabeth elle-meme est condamnée. Pourtant Robert parviendra à la sauver alors que le docteur Francis s'apprete à la tuer. (Impex Films)

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Critiques (2)

Quint 

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anglais In what is probably his strangest film, Jean Rollin swaps the usual romantic-gothic setting with vampires for a sterile industrial environment in which the main characters gradually lose their memories, turn into wandering bodies without souls and, of course, have a lot of sex in between. Rollin manages to sexualize everything, even memory loss. But aside from the unnecessarily lengthy sex scenes (which are only there to fill the feature-length running time), the rest of the film is quite a suggestive nightmare, convincingly evoking a chaotic vision of a world of disoriented amnesiac characters wandering aimlessly like zombies through the empty corridors of a modern high-rise. Moreover, the Parisian streets, thanks to the fact that they had no money for extras, feel fittingly post-apocalyptic. The final minutes are strikingly reminiscent of the similarly haunting final shot of Fulci's horror film The Beyond, a year later. ()

kaylin 

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anglais Nothing really surprises about The Night of the Hunted, at least if you've seen anything by Jean Rollin before. There is a bit of repetition in the narrative, and although there is more plot here, it is not as essential as what is being portrayed. Surprisingly, though, The Night of the Hunted is becoming essentially a soft-porn film without much of a poetic overlay, which is what I liked about Rollin. ()

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