Résumés(1)
Premier long-métrage de José Luis Montesinos, Ropes nous raconte l’histoire d’Elena, devenue tétraplégique suite à un accident qui a coûté la vie à sa sœur. Pour lui faciliter la vie, son père décide de l’emmener à la maison de campagne, fraîchement aménagée pour son nouvel handicap, où Athos, un berger belge au poil luisant, a appris à ouvrir les portes. Gentil chienchien. Là-dessus, on vous met une crise cardiaque soudaine à papa et une chauve-souris enragée qui se paye la truffe d’Athos, le gentil chienchien qui, du coup, deviendra moins gentil (et c’est un euphémisme). Bref, cette sortie bucolique qui sentait bon le Martine et Rantanplan va très vite tourner à l’affrontement entre un John McClane sur roulettes et Cujo en moins biesse… (Brussels International Fantastic Film Festival)
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Critiques (1)
J’ai déjà vu tant de clichés réchauffés dans les films où les protagonistes doivent affronter leurs démons intérieurs avant de pouvoir résoudre une situation que je ne m’y intéresse plus du tout et que même, parfois, j’en ai la nausée. Malheureusement, Ropes n’offre rien de plus que les bâtons qu’il met dans les roues de l’héroïne en la laissant s’embarquer dans des péripéties qui ne sont ni captivantes, ni amusantes, ni enrichissantes. Et les films d’horreur dont le contenu se base en grande partie sur la souffrance des animaux – même quand ce n’est que simulé – ne sont décidément pas ma tasse de thé. Pour moi, ce film était globalement déplaisant. [Sitges 2019]
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Photo © Bastian Films
