Dark Encounter

  • Grande-Bretagne The Encounter (titre de travail) (plus)
Bande-annonce

Résumés(1)

A year after the mysterious disappearance of their 8 year-old daughter, grieving Olivia and Ray return home with friends and family from her memorial service in their small town. Suddenly strange lights appear in the nearby forest and everyone is exposed to inexplicable phenomena shaking them all to the core. The origin of these weird incidents seems to be visitors from another world intent on terrorizing the family. But what they don’t realize is that these visitors will eventually lead them to an unexpectedly dark and disturbing truth - one destined to impact on their lives forever. (FrightFest)

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Critiques (1)

Goldbeater 

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français Pile un an après l’enlèvement de la fillette de la maison familiale, des lumières vives commencent à apparaître dans les environs et il n’y a aucun doute : il s’agit d’un OVNI ! Et il ne faut pas beaucoup de temps avant que d’autres disparitions ne se produisent. Les parents sont déterminés à trouver l’explication aux agissements des visiteurs de l’espace et ce qu’ils ont fait de leur enfant. Au début, Dark Encounter évoque un thriller de science-fiction familial digne d’Amblin Entertainment. C’est qu’il semble s’être grandement inspiré de Rencontres du 3ème type de Stephen Spielberg, tout comme le suggèrent son titre et ses visuels. Malheureusement, on passe progressivement à un truc simpliste qui, tout au plus, aurait convenu à remplir un épisode d’une quelconque série de science-fiction télévisée des années 90. Un long moment s’écoule pendant lequel on s’attarde sur les mystérieux phénomènes et la débandade confuse des gens chez eux et dans les bois. L’action bouge seulement tout à la fin, où on révèle le pourquoi et le comment. À ce moment-là, le film devient un non-sens dont l’insolente niaiserie est insupportable. Ajoutons à cela un épilogue de dix minutes en slow-motion qui, accompagné de violons, est censé arracher des larmes aux spectateurs, mais qui semble le faire de façon cheap dans l’unique but de solliciter une réponse émotionnelle. [Sitges 2019] ()