Black Christmas

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Pour les fêtes de fin d'année, voici la relecture d'un classique du cinéma d'horreur : sur un campus universitaire, un tueur affronte une redoutable bande d'étudiantes regroupées au sein d'une sororité… À l'approche des fêtes de fin d'année, le calme s'installe à Hawthorne College. Riley Stone (Imogen Poots) et ses amies de la sororité Mu Kappa Epsilon – Marty la sportive (Lily Donoghue), Kris la rebelle (Aleyse Shannon) et Jesse la gastronome (Brittany O'Grady) – préparent les décorations de Noël et s'apprêtent à enchaîner les fêtes. Mais un rôdeur au masque noir se met à assassiner les jeunes femmes les unes après les autres… Tandis que les cadavres s'accumulent, Riley et sa bande commencent à soupçonner les garçons de leur entourage – qu'il s'agisse du petit copain de Marty, Nate (Simon Mead), du type dont Riley vient de s'enticher, Landon (Caleb Eberhardt) ou même du professeur Gelson (Cary Elwes). Mais qui que soit le tueur, il va bientôt découvrir que cette génération de jeunes femmes n'a aucune intention de se laisser faire… (Universal International FR)

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Goldbeater Boo !

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français Une monstruosité. Ici, la marque de Black Christmas n’est exploitée qu’à des fins de marketing et n’offre pas la moindre ressemblance avec les deux versions précédentes. En regardant celui-ci, on en oublie même que c’est censé se passer à Noël. Il s'agit d'un pseudoslasher purement propagandiste dans lequel on peut faire une croix sur l’aspect sanglant à part pour le flot abondant des coulées menstruelles des scénaristes. Je ne sais pas ce que Sophia Takal et April Wolfe ont comme complexe, mais avec ce film, elles montrent bien à tout le monde qu’à leurs yeux, le genre masculin est intrinsèquement diabolique et qu’il est indispensable de l’anéantir jusqu’à son dernier représentant. Le film dans son ensemble et plus particulièrement l’écho laissé par la scène finale me pose toutes sortes de problèmes, mais je n’ai pas envie de me lancer dans une polémique. Je considère cette propagande du genre « c’est MOI qui ai raison et TOUT LE MONDE doit être de mon avis » comme une prise de position ignorante, vulgaire et dangereuse de la part des scénaristes, surtout avec l’attitude pleine de duplicité de la réalisatrice qui a déclaré que ce film n’était pas destiné aux hommes (envoyant bouler d’avance la moitié des spectateurs) et qu’il fallait qu’un maximum de jeunes filles le voie. Le film a même été corrigé en postproduction pour obtenir le classement PG-13 et atteindre ainsi au mieux les adolescentes. Heureusement, il est si exécrable et risible à tous les niveaux qu’il faudrait vraiment avoir le QI d’une asperge acidulée pour le prendre au sérieux ! Direction poubelle ! ()

Stanislaus 

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anglais It was already clear from the trailer that Black Christmas wasn't going to be a groundbreaking genre film, but I was kind of expecting it to have a touch of Scream or Halloween. Wrong! Black Christmas plays on something else (maybe even better) through the mystery line, and this somewhat far-fetched level brings the film to its knees. I also found the acting quite weak – at times I almost didn't care who survived the killing spree. Considering the (nowadays) popular pursuit of gender correctness, I am not at all surprised that a similar horror film was made, by a director with a central female cast and ubiquitous girl power. But I felt that the film pushed the envelope a little too hard in this regard, so the whole message became annoying until it came to naught. On the other hand, I don't want to completely condemn Black Christmas, as it does have some decent scenes and scares, but I was quite disappointed compared to my initial expectations. ()

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