Résumés(1)

James Clayton, un jeune homme intelligent et rusé, est recruté par Walter Burke, vétéran de la CIA, pour faire partie des services secrets américains. Mais avant de devenir un membre opérationnel, il doit survivre à The Farm, le lieu secret d'entraînement de la CIA. James s'impose rapidement comme l'un des meilleurs éléments de sa promotion et tombe amoureux de Layla, une autre élève. Alors qu'il s'interroge sur sa situation actuelle, Burke lui demande d'accomplir une mission à haut risque, à savoir démasquer une taupe à l'intérieur de l'Agence. Il va alors vite se rendre compte que les devises de la CIA sont plus que vraies: "Ne fais confiance en personne" et "La réalité n'est jamais celle que l'on croit". James aura rapidement l'occasion d'expérimenter toutes les autres lois d'une profession à part... (texte officiel du distributeur)

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Critiques (3)

POMO 

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français Le premier tiers de "The Recruit" est génial. Le deuxième ralentit l'intrigue et le troisième aboutit à une finale convulsive et inefficace. Un thriller où rien n'est tel qu'il semble être. Et aussi un thriller qui ne fonctionne pas comme il le voudrait. Les acteurs sont bien, ce n'est pas leur faute. ()

Marigold 

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anglais Decent work all around. Like a proper model viewer, I got caught in the sloppiness and didn’t read the readable ending, which adds one more star to the three stars for good craftsmanship and excellent acting. ()

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Lima 

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anglais A brisk thriller with the typical ailment of Hollywood blockbusters: a bad ending. The first half, when we follow the recruits as they train on the CIA "farm", is excellent, funny and interesting. I didn't have any major reservations, even when the plot started to get more and more convoluted, but that ending... I don't like that cliché I've seen countless times where the main villain spills the beans with a long monologue before he blows someone away (or during some other dramatic moment). Here I was treated to something similar and spiced up with plot twists that show the screenwriter's cluelessness. At least we had the two leads. Al Pacino, man, has anyone seen this guy give a bad performance? And Farrell? When he was starting to become famous, I thought, "Oh my, another starlet, another bubble about to burst." But he shut me up with Phone Booth and taped it over with this film. His acting style is very natural, without excesses. So, sorry, Colin, you are really good. I look forward to seeing you again in the fall, when we conquer the Far East. ()

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