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Evan Cole has a seemingly perfect life: a loving wife, a healthy baby boy, and a meaningful job as a social worker for troubled teens. But Evan has a secret - he violently tortures and kills those who lack his wholesome family values, specifically the family members causing problems for his patients. He hides his compulsion from his wife and son, but concealing his true nature from his overbearing, ever-present mother is harder. For a while, things work out quite conveniently for Evan. A sleek white mansion sits empty and available for Evan’s murderous rendezvous, his students’ problematic family members make themselves easily accessible and readily disposable, and his wife exhibits unending patience for his recurring late-night drives, never questioning her husband’s actions… until an observant detective catches a pattern in the killings that leads him to Evan’s doorstep. (Fantastic Fest)

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Goldbeater 

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français En fait, je suis assez déçu. De la part d’un thriller d’horreur où Stifmeister, dans le rôle d’un assistant social et tueur en série à la fois, se venge d’une injustice commise à l’école secondaire, j’aurais imaginé autre chose qu’une simple formalité basée sur ces prémisses et sans aucune valeur ajoutée. Et on ne peut pourtant pas dire que le personnage principal ait de bons principes moraux. Même s’il y a quelques vagues retournements de situation, le tout se prend beaucoup trop au sérieux. En fin de compte, Bloodline est un film maigre et fade qui, plutôt que de nous offrir au moins quelque point culminant, tourne à vide de façon stérile. J’aurais souhaité que ce soit plus léger, plus acerbe et même plus « série B ». Quant à Sean William Scott, j’aimerais le voir expérimenter plus avant avec ce genre cinématographique. ()

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